
Il semblerait en effet que les parents désireux d'atteindre la perfection deviennent anxieux à l’idée de faire des erreurs dans leur rôle de parents, s’auto-analysent beaucoup trop, portant davantage d’attention aux techniques éducatives utilisées qu’à la qualité, la spontanéité et le plaisir de leurs relations avec leurs enfants. Bref, en s’accordant le droit à l’erreur humaine, nous parents imparfaits, faisons en sorte que nos enfants grandissent de façon beaucoup plus équilibrée. Si on peut se permettre d’être (z)imparfaits, tout en ayant la bénédiction d’un psychanalyste de renom, y’a de quoi se réjouir, non?
Et tiens, je vais trinquer à cela pour Noël!
(Z)imparfaite invitée: So
2 commentaires:
En effet, il vaut mieux être zimparfait(e) que trop parfait(e)...
Ces personnes trop parfaites, y m'énarvent !
nfin un psy qui a tout compris! super! on va pouvoir continuer à être imparfaite pour le plus grand bonheur de nos enfants!!!!
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