jeudi 28 août 2014

5 façons de scrapper la rentrée

1. Couper les plaisirs. Par exemple, il y a des parents qui tentent par tous les moyens et les ruses de trouver qui est le prof de leur enfant avant même la première journée. Eille! Perte de temps! On peut soit vivre une déception à l’avance soit gâcher la (presque seule!) surprise du premier jour!

2. Tenir les comptes serrés. Oui, la rentrée coûte cher. Tout le monde le sait. Si on fait la liste de tous nos achats, qu’on compile les factures, qu’on calcule sans cesse et surtout si on le répète à tout le monde : on est quitte pour ne focusser que là-dessus… Plus on dit quelque chose, plus on reste accroché… moins on lâche-prise! Ça ne donne rien de répéter que ça a coûté 784,29$... juste à vous le rappeler sans cesse, sans but et sans effet! Essaie l’amnésie sélective!

3. Croire que l’automne est arrivé. Eille! On est encore en août! Et même en septembre, il fait beau! S’encabaner dans la maison dès la rentrée, c’est être se brimer sans raison. Il est même possible de se baigner encore, là! De souper dehors, d’aller faire du vélo, de prendre des marches, etc. Continuer vos bonnes habitudes d’été même après la rentrée, ça aide à la transition!

4. Râler sur tout. Les Grinchs de la rentrée (allez lire au cas où ce serait vous!), on n’en peut plus! La peur des poux : on stresse beaucoup, mais on n’en a pas si souvent que ça! Mettez de la lavande partout et vivez! Vous capoterez quand ça arrivera (et ce n’est pas si dramatique!). Les lunchs : coupez courts et faites provision de petits plats déjà prêts et enrôlez vos enfants dans la préparation (déléguez!!). Les activités parascolaires : ça vous pèse? Prenez un break d’une saison. Les trucs à étiqueter, signer, remplir et payer? Faites ça en buvant un verre de vin et ça va bien aller. Arrêter de chialer, autrement vos enfants aussi vont chialer et vous risquez une envolée de mauvaise humeur… Qui veut ça?

5. Vivre dans le futur… ou un centre d’achats! Anticipez, ça permet d’organiser. Trop anticipez, ça stresse. Trouvez l’équilibre. Vous n’êtes pas obligé de tout acheter tout de suite. Les habits de neige? Juste si vous tombez dessus en magasinant autre chose. Ne vous garochez pas pour acheter les bottes, les 8 paires de jeans, les manteaux d’automne, etc. Bref, ne vivez pas dans les centres d’achats et faites autres choses durant vos weekends.

mercredi 27 août 2014

Déprime: c'est la fin de l'été!

Chaque mercredi, nous partageons nos trucs (z)imparfaites pour (sur)vivre à un aspect de l'été. 
On vous invite à partager les vôtres, questions qu'on profite tous de la belle saison, malgré ses imperfections!

Cette semaine: la fin de l'été

D'accord, on est à la fin août et -bien pire malheur encore!- c'est la veille de la rentrée. Mais l'été, c'est d'abord et avant tout dans notre tête que ça se passe (et dans nos pieds... tant qu'on pourra mettre des sandales!!)

Voici nos 5 suggestions (Z) pour étirer le plaisir:

1. Manger dehors
Tant que ce sera possible, on mangera dehors... le midi quand les soirées seront trop fraîches, quitte à troquer notre rosé pour un vin chaud!

2. Planifier un congé
Que ce soit une escapade d'un jour ou d'un weekend, on se booke déjà ce moment au début octobre (car si on ne le booke pas d'avance, on ne le fera jamais...), pour se remettre du rush de la rentrée. Et pourquoi pas se planifier une journée pédagogique juste pour soi, en semaine pendant que les enfants seront à l'école ou à la garderie, pour un massage, des soins, du shopping sans stress?

3. Jouer aux touristes
Cet été, on a préféré rester dans la piscine plutôt que de faire certaines sorties. Avec le temps plus frais et l'achalandage diminué, c'est le moment parfait pour aller à La Ronde, au zoo, au musée, bref visiter tout ce qu'on n'a pas eu le temps de faire pendant les vacances. Et pourquoi pas passer une journée en touriste à Montréal, Québec, Ottawa, Sherbrooke, Trois-Rivières, etc.?

4. Planifier ses vacances de l'été prochain
Quand le spleen de la routine nous assaille, c'est que le moment est venu de penser à nos prochaines vacances. S'informer sur les destinations possibles, passer des heures sur Airbnb ou sur TripAdvisor, ça change les idées et ça fait rêver.

5. Embarquer à fond dans la nouvelle saison
Et si on se lançait à pieds joints dans l'automne au lieu de rester nostalgiques de l'été (pas si beau et chaud que ça, en plus!)? Au lieu d'un pool party, on se fait un party de confitures et de cannages! On cuisine des plats réconfortants en famille et on remplit le congélateur. On se remerciera les soirs où le temps nous manquera!

lundi 25 août 2014

«Je ne veux plus répéter!»... ou le pouvoir des listes!

Un des trucs que j'haïs le plus au monde, c'est répéter. Pourtant, je le fais souvent. Et je l'ai fait souvent. Quand ils sont petits, on ne fait que ça. «Touche pas à ça!» répété 10 fois suivi de «Qu'est-ce que je t'ai dit?» et parfois même accompagné, dans un moment de découragement total, «Coudonc es-tu sourd?».

Je sais que je vais devoir répéter encore souvent, mais j'ose rêver qu'avec l'âge on puisse aussi trouver des alternatives question de préserver ma santé mentale (mon niveau de stress, ma pression artérielle, mon cœur, etc.). Il me semble que si je dis à MissPuDeLulus : «Ta tâche, c'est de t'occuper du lave-vaisselle!», c'est asse clair. Mais non, il faut que je lui répète le matin, le soir, le lendemain, la semaine d'après, etc. On n'en finit plus! Et graduellement, ma patience (déjà fort limitée, je vous le concède) s'étiole.

J'ai donc mis au point un nouveau système «Je ne veux plus répéter» (Je n'ai pas cherché loin pour le nom, ce n'est que le résultat qui m'importe vraiment!). C'est ultra simple. En fait, je me suis inspirée de ce que je fais pour moi... des to-do list!

Chaque jour, les enfants ont une liste de trucs à faire allant du «Me préparer pour l'école», «Faire mon lunch» à «Vider le lave-vaisselle». Une liste bien détaillée parce qu'autrement je vais me faire avoir avec «C'est pas sur ma liste! » (anticipation quand tu nous tiens... ou «je-connais-trop-bien-mes-enfants».  Les tâches sont divisées entre le matin et le soir, et parfois avec une heure "dead line". That's it!

Je me dis que si leur liste compte 10 éléments (Ils ne sont pas des esclaves, on s'entend! On se rappelle qu'il y aura des trucs comme "brosser tes dents",, "faire tes devoirs" et autres trucs banals au max, mais que je n'aurai plus à dire et redire mille fois!), je ne répéterai pas ces 10 éléments-là dix fois chacun. Au pire, je pourrai clamer «Regarde ta liste!» (ou m'enregistrer!). Ça va leur donner une certaine structure du travail à faire, un ordre, un planning, etc. Pas que je veux les restreindre dans un cadre fermé et étanche, mais dans la vie, il en faut un certain minimum autrement c'est le chaos. Faire des listes, ça nous permet de mieux gérer notre temps pour faire rapidement les tâches plates (et ne pas en oublier!), se vider la tête (on l'écrit et on n'y pense plus!) et avoir ensuite plus de temps pour ce qui nous importe. Sans listes diverses, je n'arriverais à rien. Ce n'est peut-être pas leur technique infaillible pour eux, mais pour l'instant, puisque se "fier à leur mémoire" n'est pas source de fiabilité, ils testeront cette méthode. Un jour, ils trouveront la leur, fine!

Et puis, «Regarde ta liste» sera un peu comme mon mantra.  J'ose croire que je vais pogner moins les nerfs! Je devrais aussi m'éviter les «Je ne savais pas!», «Oups, j'ai oublié!» et autres excuses semblables.

Reste à trouver ce qui arrive au bout quand ils ne remplissent pas leur tâche. Conséquence ou non? La première est que tant que leur liste n'est pas complétée - à moins de permission spéciale - ils ne peuvent pas écouter la télé/texter avec leurs amis/jouer dehors/sortir les jeux vidéo. L'autre idée est de les faire coucher plus tôt le lendemain. Il faut trouver ce qui les dérange vraiment, car si je les prive de télévision, ils vont prendre l'ordi (ou vice versa). Je pense que le temps reste peut-être ce qui les prive vraiment... Si vous avez d'autres suggestions de ce qui fonctionne chez vous, je suis prête à tout tester... tant que je répète moins.

vendredi 22 août 2014

Gâteaux de shower: juste trop!

Déjà que les showers, je n'aime pas ben ben ça. Je suis encore plus incertaine sur l'humour - et le côté alléchant ! - de ce gâteau destiné à Christina Aguilera.

 

Et vous, qu'en pensez-vous?

Vous voulez d'autres gâteaux douteux et étranges pour un shower, en voici quelques-uns trouvés sur EssentialBaby. Y'a vraiment quelqu'un qui va dire : «Wow! Il est ben beau, le gâteau?»





mercredi 20 août 2014

"C'est plate! Je sais plus quoi faiiire" (et ses variantes)

Chaque mercredi, nous partageons nos trucs (z)imparfaites pour (sur)vivre à un aspect de l'été. 
On vous invite à partager les vôtres, questions qu'on profite tous de la belle saison, malgré ses imperfections!

Cette semaine: Les "C'est plate! Je sais plus quoi faiiire", "Je m'ennuiiie", "Veux-tu jouer avec moi?" (euh...non!)

Chez les (Z), il y a 5 solutions à ce problème:

1. Distribuer des tâches
Si tu t'ennuies, c'est que tu n'es pas occupé. Alors c'est que tu n'as pas assez de tâches. Selon l'âge (et on peut les adapter pour que ça commence autour de 3 ans): plier du linge, vider le lave-va

2. Sortir un livre d'apprentissage
N'avoir rien à faire semble tout à coup beaucoup plus excitant que de pratiquer ses maths!

3. Faire des listes
Faire la liste de toutes les choses que tu aimerais faire mais que tu ne peux pas faire, puis faire la liste de toutes les choses le fun qu'il a fait dans son été, puis faire la liste de tous les pays du monde qu'il aimerait visiter, puis faire la liste de ses futurs -potentiels- cadeaux de Noël ou de fête... eh ben, ça occupe un ennuyé pour une bonne heure!

4. Aller jouer dehors
On l'oublie parfois mais l'extérieur existe toujours en 2014! En "embarrant" les enfants dehors, on les oblige à se trouver d'aures occupations que tourner en rond (au pire, ils tourneront en rond dehors mais ils prendront de l'air en même temps!)

5. Aller chez un ami
On a bien dit chez. Parce que si l'ami vient à la maison lors d'une journée "d'ennui généralisé", on risque de se retrouver avec un double problème. Vaut mieux aller déposer le problème chez quelqu'un d'autre.

lundi 18 août 2014

iPhone + parents + enfants = bons parents

Ça vous arrive de regarder votre iPhone lorsque vous êtes avec vos enfants? Au parc? À leur cours de natation?

Moi, aussi. Souvent.

Vous savez quoi? C'est ben correct! Et ça ne remet pas en cause ni vos compétences parentales ni votre amour pour vos enfants ni votre implication auprès d'eux. Plus encore: vos enfants ne seront ni traumatisés ni brimés dans leur estime personnelle ni des carencés affectifs si vous les accompagnez au parc et que vous utilisez votre téléphone intelligent. Il faut arrêter de capoter. J'ai été vraiment heureuse de lire cette blogueuse écrire ce texte il y a quelques jours. Elle s'adresse à la maman qui accompagne son enfant au parc et qui ne s'exclame pas à tous les deux minutes (secondes?) sur ses prouesses, qui ne commente pas tous ses gestes et qui ne l'assomment pas de mille et uns «Fais attention!». Elle lui dit que ce qu'elle fait est correct. Elle répond peut-être à une amie qui passe un mauvais moment, elle joue peut-être à un jeu pour mette son cerveau à OFF, elle a peut-être passé toute la journée avec les enfants et c'est son seul moment pour lire le journal, elle règle peut-être une urgence au bureau pour être libre après toute la soirée, elle surveille peut-être la météo en vue du prochain match de soccer, elle achète peut-être des vêtements pour la rentrée en ligne, etc. Elle peut bien faire ce qu'elle veut, elle en a tellement le droit!

Fou pareil qu'on a besoin de se le faire dire Comme si c'était une prescription, une permisson, une bénédiction extérieure. Ça me laisse toujours un peu perplexe.

Quand on était petit et que nos parents nous laissaient aller jouer au parc tout seul (!!), est-ce qu'il se faisait juger? Au fond, c'est la même affaire. Ils faisaient «autre chose» pendant que leurs enfants (nous!) s'amusaient au parc. Sommes-nous des carencés aujourd'hui? Leur en voulons-nous? Même chose avec le téléphone finalement: on fait «autre chose» pendant que nos enfants s'amusent (parce que, entre autres, on ne veut pas les laisser sans surveillance dans un parc où il pourrait arriver quelque chose!).

Les excès et les abus sont déplorables, bien sûr. Un parent qui ne décolle jamais de son iPhone, c'est plate. Mais est-ce si fréquent? Mais pourquoi a-t-on si peur de ne pas être 100% là pour nos enfants? Il y a tellement de façons différentes d'être présents. Il est difficile de trancher ce qui est vraiment mieux. C'est préférable de passer toute la journée du samedi avec ses enfants, mais regarder par-ci par-là son téléphone ou le voir 2 heures non stop avec 100% d'attention parce qu'on a dû aller travailler. Pourquoi on devrait se trouver cheap dans l'une ou l'autre des situations?

Le baromètre, il n'est pas dans les yeux des autres. Il est en nous. On le sait au fond de nous si ce qu'on fait est ok ou non. Pis des fois, on fait ce qu'on peut avec ce qu'on a.  Des fois, ce n'est pas l'idéal. Des fois, on se dit qu'on aimerait faire autrement, mais on n'a pas le choix parce qu'on est dans un rush au boulot, par exemple. C'est ok! On se reprendra une autre fois... même si on a besoin d'allumer notre téléphone pour vérifier un ou deux trucs. Faudrait quand même pas virer fou!

mercredi 13 août 2014

Merde! Il pleut! (ou comment survivre aux jours de pluie)

Chaque mercredi, nous partageons nos trucs (z)imparfaits pour (sur)vivre à un aspect de l'été. 
On vous invite à partager les vôtres, questions qu'on profite tous de la belle saison, malgré ses imperfections!

Cette semaine: les jours de pluie

Parce qu'au Québec, l'été, il mouille! Il faut arrêter de se leurrer, on a un "été de rêve" une année sur quatre. Alors, il faut avoir des alternatives "jour de flotte" pour en profiter pleinement même si le soleil se fait rare. Voici des idées pour survivre aux jours de pluie (surtout après 2-3 jours consécutifs!) avec des enfants en vacances depuis déjà trop longtemps.

À la maison:


- On glisse dans les mains de nos enfants le livre 50 missions à réaliser avant la fin de l'été, imaginé, écrit et dessiné par Annie Groovie (aux éditions Les Malins). On encourage nos enfants à réaliser le plus de missions possibles d'ici le retour à l'école. Chouette: ils peuvent écrire, compiler, tester ou prendre des notes dans le livre. 15$ bien investi!


- Achetez un paquet d'Oreo et demandez aux enfants de reproduire les phases de la lune en s'aidant d'Internet ou d'un livre. Garantie: vous ne les entendrez pas pour une heure ou deux. Et pas besoin de faire le dîner: ils n'auront plus faim.

- Rien... aussi simple que ça! Vous avez passé l'été à courir partout. Là, ne faites rien, n'organisez rien, ne cuisinez rien, etc. Allez-y avec vos envies, point. Une journée à s'éffouérer devant la télé, c'est ben correct. Quand avez-vous le temps de faire ça autrement? Et puis, ça vous évitera les foules dans les attractions touristiques. Lisez. Regardez un film. Jouez à un jeu. Sans presse, ni obligation. Et surtout, comme parents, ne vous sentez pas obligés d'entertainer les enfants. Qu'ils apprennent à ne rien faire: c'est un excellent apprentissage aussi.

- Inventez... des couleurs! Bon, ils peuvent s'amuser avec du colorant alimentaire, mais ça tache pas mal. Allez plutôt faire provision de carton de couleurs pour la peinture à la quincaillerie la plus près de chez vous et prenez plaisir à lire les "noms" des couleurs. Presque aussi drôle que nos palmarès des prénoms. Et laissez-vous aller en inventant des couleurs. (*Notez sur la photo la couleur "Gin Tonic"!)


On sort!

Ce n'est pas parce qu'il pleut qu'on ne peut pas sortir! Voici nos lieux préférés* avec nos pré-ados (heureusement, ils sont trop vieux pour vouloir aller au Centre Pi-O et tout autre centre d'amusement intérieur où le taux de décibels est insupportable pour tout être humain de plus de 4 ans):

- L'Expo sur la musique québécoise au Musée McCord (c'est l'expo de l'été avec nos pré-ados! Une bonne occasion de démarrer des discussions sociales et politiques entre une toune de Beau Dommage et d'Harmonium. Vaut le déplacement!)

- Le Musée Pointe-à-Callière (un classique dès qu'ils s'intéressent à la fondation de Ville-Marie et aux Iroquioiens!)

- Le Musée de la nature et des sciences de Sherbrooke (la simulation du tremblement de terre vaut le détour! Un petit musée sans prétention, mais très intéressant)

- Le Centre de la biodiversité du Québec à Bécancour (manipuler des serpents et pleins d'autre bêtes, ça me parle! Et ça parle à une majorité d'enfants -et fait suffisamment peur aux autres pour les intéresser. Super lieu à découvrir!)

- Le Centre des sciences de Montréal (c'est toujours winner, quoique les expos temporaires sont en déclin depuis la fantastique expo Star Wars et la -un peu moins- fantastique expo sur la musique)

- L'Électrium (c'est pas long, c'est gratuit et la boule qui fait lever les cheveux vaut le détour... parce qu'elle fonctionne pas mal mieux que celle du Centre des sciences!)

- Le Cosmodôme de Laval (Les missions sont très cool! Beaucoup plus intéressant que le Planétarium, même s'il est hi-tech et tout nouveau!)

- Le Musée québécois de la culture populaire à Trois-Rivières (des expos intéressantes et variées, bien faites et interactives dont l'Expo sur La P'tite Vie et celle sur les pubs du Québec)

- Le Musée Grévin (c'est cher mais ça excite les pré-ados et c'est quand même moins cher d'être invité à la même soirée V.I.P. que Leonardo DiCaprio! Et on aime bitcher les statues et trouver qu'elles ne ressemblent MÊME PAS aux vraies stars tout en multipliant les photos ri-di-cu-les avec ces poupées de cire)

Et vous, quels sont vos activités ou vos lieux préférés sous la pluie?

 * Pas commandités, préférés (qu'on aime vraiment)

lundi 11 août 2014

La rentrée, c'est pas avant le 25 août (au moins)!

Ça y est! Je suis déjà tannée d'entendre parler de la rentrée.

Je reçois des offres spéciales par courriel ("Nos habits de neige sont arrivés!" euh... il fait 32 degrés!), je me fais bombarder d'idées pour amorcer la rentrée du bon pied alors que tout ce dont j'ai besoin, c'est de ne PAS en entendre parler. Désolée, mon été à moi n'est pas terminé (c'est déjà assez court de même, non?)

Pour moi, la rentrée, c'est à la dernière semaine d'août -pas avant!- que je m'y intéresse! D'ici là, je vis dans le déni complet. Les cahiers, les crayons, les beaux étuis, ça me n'intéresse absolument pas. Je ne veux même pas savoir où sont les effaces en spécial à 0,10$ ni où trouver le meilleur rapport qualité/prix des cartables à anneaux d'un pouce et demi.

De toute façon, ça prend quoi, un gros 3 heures pour magasiner les effets scolaires et les étiqueter (ça me prend ça pour mes 3 enfants depuis 6 ans alors n'exagérons pas, ce n'est pas si terrible!). Ce trois heures, eh bien je le prendrai vers le 25-26 août (un jour de pluie, si possible), quitte à acheter la boîte à lunch esseulée la plus moche du magasin (au moins, elle ne sera pas identique aux 14 autres de leur groupe du midi).

Et ne me parlez pas de faire des pratiques et des changements d'horaire progressifs pour s'habituer à se coucher plus tôt. C'est l'été et c'est les vacances jusqu'à la veille de la rentrée... tard, le plus tard possible!

Parce qu'un enfant qui se couche à 21h30 ce soir-là après une sortie à la crémerie risque d'angoisser pas mal moins longtemps dans son lit en pensant à la journée du lendemain... et quand bien même il est fatigué pour sa première demi-journée d'école (j'en doute... eux aussi, ils carburent à l'adrénaline!), eh ben, il se couchera plus tôt le lendemain... comme par magie! Et bingo pour le changement d'horaire (sans période de désensibilisation étalée sur deux semaines)!

Clairement, on se crée un stress pour rien avec la rentrée. C'est juste la routine qui réintègre sa place et ça... ça peut bien attendre encore deux semaines!

mercredi 6 août 2014

Les jeux qu'on aime (pour vrai)




Chaque mercredi, nous partageons nos trucs (z)imparfaits pour (sur)vivre à un aspect de l'été. 
On vous invite à partager les vôtres, questions qu'on profite tous de la belle saison, malgré ses imperfections!

Cette semaine: les jeux

On aime les jeux mais encore faut-il qu'ils ne nous compliquent pas la vie (surtout en été!). Trois règles de base:

1. Les instructions tiennent sur une feuille.
Quand juste lire les règles suffit à faire déserter les possibles joueurs, ça ne va pas.


2. La boite est moins grande que que le micro-ondes.
Quand il faut louer un conteneur mobile pour ranger les jeux, y'a un problème!

3. La durée n'est pas indéterminée.
Un jeu n'a pas à être interminable. S'il peut s'éterniser, on se fixe une limite de temps pour ne pas souffrir du "syndrome du Monopoly".


Suivant ces trois critères (z)imparfaits, voici nos jeux préférés (eh oui, encore de la CONSOMMATION (!...) alors qu'on pourrait s'amuser avec de la mousse de nombril...):

Avec nos plus grands: 



Le toc
Eh oui, chez nous, c'est le retour du bon vieux jeu de toc. Des billes, une planche de jeu et un jeu de cartes et nous voilà parti pour une joute où tous les coups bas sont permis! En plus, ça permet aux enfants d'anticiper et d'user de stratégie, mais de façon moins techno que sur une Wii. Un comeback qui rallie tout le monde! 

La course aux étoiles
Ah ha! Un jeu où on ne doit pas se dépêcher de finir le premier (en fait, être le 2e c'est beaucoup mieux!) et où on doit gérer le fait qu'on ne contrôle pas tout (contradictoire, mais efficace pour briser le désir de gagner à tout prix des enfants... Ou des grands!). Mais surtout un jeu qui se joue en de courtes parties de 15 minutes. Ça, c'est gagnant!

Et nos autres préférés:


Bazar Bizarre

Color Addict
Miss Poutine
Dobble 

Sardines
SpidMonster
Jungle Speed
C'est pas faux!
Jour de paye (notre jeu "rétro" préféré!)
Harry Potter, le jeu



Et vous, quels sont vos jeux préférés? Partagez!