Il y a des matins où, en prenant mon café les yeux encore
collés, je pense à mon amie Mylène. Je souris en pensant qu’elle savoure le
même plaisir que moi presqu’au même moment.
Mon amie Mylène qui ne dormait plus. Mon amie Mylène qui a
renoué avec Morphée.
Je vous explique. Mylène a eu cinq enfants en 13 ans. Comptez
ça comme vous voulez, mais en gros, ça veut dire qu’elle ne dort plus depuis 13
ans (+ les 3 derniers mois de sa première grossesse!). 156 mois. 676 semaines.
Plus de 4700 jours. (Je vous épargne le reste, les heures, les minutes et les
secondes… Quoi? On a assez des devoirs de maths à faire!). Elle n’était plus
juste fatiguée. Elle était la fatigue incarnée.
Chez elle, quand tombait la nuit et qu’elle pouvait enfin
déposer sa tête sur l’oreiller (non sans avoir bordé cinq enfants et fait tout
autant de routine pré-dodo), elle avait le temps avant de sombrer d’une
dernière petite pensée : qu’est-ce qui allait bien pouvoir la tenir réveillée
cette nuit encore une fois (Non, elle n’espérait même plus faire une
« bonne nuit »; elle ne se rappelle même plus ce que c’est…). On
dirait qu’un petit diable la nargue perché sur sa tête de lit. Elle ne l’écoute
plus et profite de toutes les minutes de sommeil arrachées à lui. Mais chez
elle, il y a toujours un cauchemar (ou deux!), un enfant malade, en pleurs, en
crise, qui a faim ou soif, puis qui a invariablement envie de pipi, ou… une
couche (ou deux) à changer. Eh oui, ses deux plus jeunes sont encore aux couches et elle doit affronter les
fuites à 2h18 (et celles de 3h32 et de 5h17). Et ce sont souvent eux qui
réveillent les autres…
Sérieusement, y a-t-il quelque chose de pire que ça (bon,
oui, la gastro… mais quand même!)? En plus de se faire réveiller, il faut
défaire les draps, enlevé le pyjama (détrempé!), le cache-couche (imbibé!), les
bas (alouette!), de rhabiller le monstre hurlant (qui a habilement réveillé un
des quatre autres!), de partir une brassée, de trouver des draps propres, de
refaire le lit et de rendormir l’enfant qui pense qu’on est le matin… Et quand
il finit par dormir, eh bien c’est elle qui est complètement réveillée guettant
le prochain réveil…
Ça, c’était la vie de Mylène jusqu’à ce week-end. Qu’est-ce
qui a changé? Elle a troqué les couches des plus petits par les nouvelles Huggies
Sngu&Dry munies du système anti-fuites SureFit sur les côtés qui promet une
protection jusqu’à 12 heures. Quand elle a vu cette inscription sur la boîte,
elle a sourcillé (comme vous le faites peut-être aussi!). Elle a douté. Mais
qu’avait-elle à perdre à les essayer?
C’est ce qu’elle a fait.
Mylène ne sait pas si c’est la protection anti-fuites, la
bande ceinture qui permet un meilleur ajustement à la taille ou encore la forme
de la couche qui fait la réussite de cette couche. Elle ne veut pas vérifier.
Ce qu’elle sait toutefois, et ça lui suffit, c’est qu’elle dort depuis qu’elles
les utilisent. C’est tout ce qui compte.
Alors, le matin, en prenant mon café, maintenant, je me dis
que Mylène a sûrement passé une bonne nuit. Je suis contente et soulagée pour
elle. Mais j’évite de penser que son grand, qui vient d’avoir 13 ans,
commencera bientôt à rentrer tard, repousser le couvre-feu et que ça empêchera Mylène de dormir
encore. Malheureusement, pour ça, la
solution ne sera pas une nouvelle couche…
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