tu viens de faire un "sermon" à ta fille qui voulait apporter un de ses livres pour lire dans son bain (voulant m'imiter... il y a toujours un livre dans la salle de bain!) sur le fait qu'elle pourrait l'échapper... et que pendant même qu'on s'exclame et qu'on gesticule, tu échappes ton propre livre (de la biblio!) dans le lavabo dans lequel le robinet coulait!!
Tu es obligée de sécher le livre au séchoir sous le regard de ta fille... qui lit dans son bain car tu trouves subitement que tes arguments ne tiennent plus la route...
Ça vous arrive de vous rétracter car finalement, vous vous rendez compte que vous le faites et qu'ainsi, votre "discours" n'a plus de valeur...
lundi 31 octobre 2011
Tu te sens vraiment imparfaite quand... (prise 52)
Libellés :
Imparfaitement soi-même;,
Moments embarrassants
vendredi 28 octobre 2011
À boutte du lavage : votre top 10!
Enfin une sujet qui fera l'unanimité aujourd'hui! Puisque ce sont vos réponses que l'on publie! ;-)
Et elles ont été si éloquentes (et nombreuses!) pour le concours qu'on a décidé de bâtir le top 10 de ce qui vous met à boutte quand vient le temps de faire une (autre!) brassée de lavage.
Après tout, c'est le weekend qui commence alors vous en ferez bien 3-4 d'ici dimanche soir (faudrait pas oublier de sortir les vêtements d'hiver! ;-)
Voici donc le top 10 de ce qui vous enrage avec le lavage - avec quelques savoureuses citations en prime (bien sûr, on a préservé votre anonymat... mais vous vous reconnaîtrez ;-):
No 10 - Les brassées oubliées
«...Quand j'arrive les bras pleins de draps a mettre dans la laveusse... et qu'elle est déjà pleine d'une brassé oubliée là depuis 24 heures... et ça arrive souvent!!»
«Partir la laveuse le soir, m'endormir sur le sofa et être obligée de refaire ma brassée le lendemain parce que le linge ne sent plus trop le propre.»
No 9- Les vêtements à «usage unique»
«... les vestes ou pantalons portés une fois et pas sales qui se retrouvent à coup sûr dans le panier au lieu d'être pliés et retournés dans le tiroir car trop c'est compliqué...»
No 8- Le pliage et le rangement
«PLIER LE MAUZUS DE DRAP CONTOUR...»
«Ma MORT c'est de devoir RANGER après! J'haïs ça là, vous pouvez pas imaginer! C'est vraiment la tâche qui me tape le plus sur les nerfs! 2 adultes, 3 enfants. Une chambre au sous-sol. Ranger. Oups, oublier un morceau. Retourner à la chambre du sous-sol. Ma chambre, celles des plus jeunes, du bout des pieds, dans le noir pour ne pas les réveiller (heuuu qui fait son pliage de jour!? Pas moi, de jour, j'travaille!), cogne un orteil, réalise que je plie tout ça pour rien parce que tout est à l'envers dans les tiroirs....... Ah juste d'y penser..... je déteste ranger les vêtements, BON!»
No 7- Les trouvailles indésirables dans les poches
«...Les poches remplies de sable que j’ai oublié de secouer, les lipsticks oubliés dans le racoin d’une poche et qui malheureusement fond dans la sécheuse… Grrr!!»
«Ce qui me rend à bout lorsque vient le temps du lavage, c'est les paquets de gomme oubliés (on se fie ici que maman vérifiera TOUTES les poches avant de mettre les vêtements dans la laveuse). Résultat : des poches toutes collées qu'il faut décoller avant de tout relaver.»
«Mon chum travail sur la construction. C'est immanquable, il y a toujours une vis, un boulon, une tête de tournevis, des bout de fils électrique, des marettes... (est-ce que j'arrête l'énumération là???) dans ses poches. Quand je lui rappelle, pendant 1 ou 2 semaines, c'est ok il n'y a plus rien dans ses poches. Mais le naturel revient au galop et ça recommence. PU CAPABLE!!!»
No 6- Les collants et les bobettes coincés dans les pantalons
«Ce qui me rend à boutte, complètement, entièrement à la limite du boutte de l'univers, c'est quand mes gars, ces fabuleux ados qui veulent que tout se fasse instantanément, enlèvent leurs pantalons et culottes-boxer en même temps, et laissent leurs culottes prises dans les jambes des pantalons à l'envers. Imaginez la scène : non seulement les pantalons sont à l'envers (et je dois les retourner!), mais je dois aussi enlever leurs culottes sales. Eurk!!»
No 5- Les disparitions inexpliquées
«... je me retrouve toujours avec des dizaines de bas orphelins à la fin de tous mes lavages. Mais pourquoi?? Où disparaissent-ils tous?? Existe-t-il une 3e dimension où tous les bas orphelins de la planète réapparaissent?!»
«... que les p'tits lutins mangeurs de bas ne mangent JAMAIS 2 bas de la même paire... (si vous lisez ceci les petits lutins, j'ai un gros tas de bas perdus pour vous!!)»
No 4- L'éternel recommencement
«Ce qui me rend à boutte dans le lavage, c'est quand tous tes paniers sont ENFIN vides (parce que tu t'es tapé une journée entière de lavage) et qu'à peine quelques heures plus tard, les serviettes s'empilent après les bains de la maisonnée, les vêtements foncés s'accumulent dans le panier quand tout le monde est en pyjamas, etc. Pas moyen d'avoir le dessus sur le lavage!»
No 3- Les chaussettes en boules
«... les petits bas roulés en « mottons » de mes enfants!»
«Ce qui me met à boutte quand je fait le lavage c'est d'être obligée de défaire des bas sales qui sont en boules...»
«... revirer les petits bas qui puent!»
No 2- Les vêtements à l'envers
«Là où j’enrage, c’est dans le après. Le pliage? Non pas tout à fait ça le problème. La vraie torture, c’est ce qui vient avant, j’ai nommé le revirage!»
«Ça me met en rogne de devoir me taper la job deux fois. Plier un millier de sous-vêtements, bas, chandails, etc. c’est une chose, mais être obligé de le faire en double pour les remettre à l’endroit avant, ça je déteste.»
Numéro 1- Les ti-maudits kleenex oubliés dans les poches!!!!
«Les poches pas vidées... Explosion de Kleenex sur tous les chandails noirs en bonus. Aargh!»
«... les mouchoirs qui viennent TOUJOURS de la poche de l'autre... (y'a quelqu'un quelque part qui met des mouchoirs dans nos poches en cachette, soyez sur vos gardes!!)»
Mentions spéciales...
... aux élastiques des culottes qui s'effilochent et s'entortillent autour des chaussettes et des chandails (beau motton à défaire!);
... au bas rouge perdu dans une brassée de blanc;
... aux ados qui -en nous voyant plier le linge propre- se rappellent soudainement qu'il fallait ab-so-lu-ment laver tel chandail pour demain;
... au panier à linge sale mystérieusement rempli à ras bord alors qu'on vient justement de terminer le lavage;
... au linge tout plié et rendu dans les tiroirs qui s'envole comme par magie, se déplie et se retrouve par terre... propre, mais par terre! («si possible, avec un chien aux pattes de bouette qui fait dodo dessus...'')
... aux maudits velcros des bavettes qui pognent dans nos sous-vêtements
En espérant que ce défoulement collectif vous permettra désormais de faire votre lavage avec le sourire!
Et elles ont été si éloquentes (et nombreuses!) pour le concours qu'on a décidé de bâtir le top 10 de ce qui vous met à boutte quand vient le temps de faire une (autre!) brassée de lavage.
Après tout, c'est le weekend qui commence alors vous en ferez bien 3-4 d'ici dimanche soir (faudrait pas oublier de sortir les vêtements d'hiver! ;-)
Voici donc le top 10 de ce qui vous enrage avec le lavage - avec quelques savoureuses citations en prime (bien sûr, on a préservé votre anonymat... mais vous vous reconnaîtrez ;-):
No 10 - Les brassées oubliées
«...Quand j'arrive les bras pleins de draps a mettre dans la laveusse... et qu'elle est déjà pleine d'une brassé oubliée là depuis 24 heures... et ça arrive souvent!!»
«Partir la laveuse le soir, m'endormir sur le sofa et être obligée de refaire ma brassée le lendemain parce que le linge ne sent plus trop le propre.»
No 9- Les vêtements à «usage unique»
«... les vestes ou pantalons portés une fois et pas sales qui se retrouvent à coup sûr dans le panier au lieu d'être pliés et retournés dans le tiroir car trop c'est compliqué...»
No 8- Le pliage et le rangement
«PLIER LE MAUZUS DE DRAP CONTOUR...»
«Ma MORT c'est de devoir RANGER après! J'haïs ça là, vous pouvez pas imaginer! C'est vraiment la tâche qui me tape le plus sur les nerfs! 2 adultes, 3 enfants. Une chambre au sous-sol. Ranger. Oups, oublier un morceau. Retourner à la chambre du sous-sol. Ma chambre, celles des plus jeunes, du bout des pieds, dans le noir pour ne pas les réveiller (heuuu qui fait son pliage de jour!? Pas moi, de jour, j'travaille!), cogne un orteil, réalise que je plie tout ça pour rien parce que tout est à l'envers dans les tiroirs....... Ah juste d'y penser..... je déteste ranger les vêtements, BON!»
No 7- Les trouvailles indésirables dans les poches
«...Les poches remplies de sable que j’ai oublié de secouer, les lipsticks oubliés dans le racoin d’une poche et qui malheureusement fond dans la sécheuse… Grrr!!»
«Ce qui me rend à bout lorsque vient le temps du lavage, c'est les paquets de gomme oubliés (on se fie ici que maman vérifiera TOUTES les poches avant de mettre les vêtements dans la laveuse). Résultat : des poches toutes collées qu'il faut décoller avant de tout relaver.»
«Mon chum travail sur la construction. C'est immanquable, il y a toujours une vis, un boulon, une tête de tournevis, des bout de fils électrique, des marettes... (est-ce que j'arrête l'énumération là???) dans ses poches. Quand je lui rappelle, pendant 1 ou 2 semaines, c'est ok il n'y a plus rien dans ses poches. Mais le naturel revient au galop et ça recommence. PU CAPABLE!!!»
No 6- Les collants et les bobettes coincés dans les pantalons
«Ce qui me rend à boutte, complètement, entièrement à la limite du boutte de l'univers, c'est quand mes gars, ces fabuleux ados qui veulent que tout se fasse instantanément, enlèvent leurs pantalons et culottes-boxer en même temps, et laissent leurs culottes prises dans les jambes des pantalons à l'envers. Imaginez la scène : non seulement les pantalons sont à l'envers (et je dois les retourner!), mais je dois aussi enlever leurs culottes sales. Eurk!!»
No 5- Les disparitions inexpliquées
«... je me retrouve toujours avec des dizaines de bas orphelins à la fin de tous mes lavages. Mais pourquoi?? Où disparaissent-ils tous?? Existe-t-il une 3e dimension où tous les bas orphelins de la planète réapparaissent?!»
«... que les p'tits lutins mangeurs de bas ne mangent JAMAIS 2 bas de la même paire... (si vous lisez ceci les petits lutins, j'ai un gros tas de bas perdus pour vous!!)»
No 4- L'éternel recommencement
«Ce qui me rend à boutte dans le lavage, c'est quand tous tes paniers sont ENFIN vides (parce que tu t'es tapé une journée entière de lavage) et qu'à peine quelques heures plus tard, les serviettes s'empilent après les bains de la maisonnée, les vêtements foncés s'accumulent dans le panier quand tout le monde est en pyjamas, etc. Pas moyen d'avoir le dessus sur le lavage!»
No 3- Les chaussettes en boules
«... les petits bas roulés en « mottons » de mes enfants!»
«Ce qui me met à boutte quand je fait le lavage c'est d'être obligée de défaire des bas sales qui sont en boules...»
«... revirer les petits bas qui puent!»
No 2- Les vêtements à l'envers
«Là où j’enrage, c’est dans le après. Le pliage? Non pas tout à fait ça le problème. La vraie torture, c’est ce qui vient avant, j’ai nommé le revirage!»
«Ça me met en rogne de devoir me taper la job deux fois. Plier un millier de sous-vêtements, bas, chandails, etc. c’est une chose, mais être obligé de le faire en double pour les remettre à l’endroit avant, ça je déteste.»
Numéro 1- Les ti-maudits kleenex oubliés dans les poches!!!!
«Les poches pas vidées... Explosion de Kleenex sur tous les chandails noirs en bonus. Aargh!»
«... les mouchoirs qui viennent TOUJOURS de la poche de l'autre... (y'a quelqu'un quelque part qui met des mouchoirs dans nos poches en cachette, soyez sur vos gardes!!)»
Mentions spéciales...
... aux élastiques des culottes qui s'effilochent et s'entortillent autour des chaussettes et des chandails (beau motton à défaire!);
... au bas rouge perdu dans une brassée de blanc;
... aux ados qui -en nous voyant plier le linge propre- se rappellent soudainement qu'il fallait ab-so-lu-ment laver tel chandail pour demain;
... au panier à linge sale mystérieusement rempli à ras bord alors qu'on vient justement de terminer le lavage;
... au linge tout plié et rendu dans les tiroirs qui s'envole comme par magie, se déplie et se retrouve par terre... propre, mais par terre! («si possible, avec un chien aux pattes de bouette qui fait dodo dessus...'')
... aux maudits velcros des bavettes qui pognent dans nos sous-vêtements
En espérant que ce défoulement collectif vous permettra désormais de faire votre lavage avec le sourire!
Libellés :
Angoisses maternelles,
Vider son caca
mercredi 26 octobre 2011
Trop techno!
Les enfants avec un cellulaire? Vraiment, je ne peux pas dire à quel âge je trouve cela "normal". Et je ne parle pas de leur prêter pour des causes de "sécurité" à l'occasion. Mais encore là!
Mais quand je vois ce nouveau jouet Fisher Price (!!!!!!) - le Apptivity Case - qui permet de glisser son iPhone ou son iPod Touch dans le hochet pour que bébé s'amuse, je décroche. À 6 mois, un enfant n'a pas besoin d'avoir accès à un iPhone. Personne ne me fera avaler cela! Et quoi encore? Comment on fera pour lui "enlever" l'accès à notre cellulaire à 4 ans? Comment on lui dira qu'un cellulaire, ce n'est pas pour lui à 9 ans et demi? On aura quelle crédibilité? Mieux (ou pire, c'est selon!): c'est quoi, le classique hochet avec des petits grelots, du tissu qui fait du bruit en craquant et peut-être un bout de miroir, ce n'est pas assez?
Des fois, je ne me dis qu'on pousse les enfants tellement dans la techno qu'ils ne savent même plus s'amuser avec pas grand chose. On attend au restaurant - pour avoir la table, pour avoir le menu, pour avoir nos assiettes, pour que les parents finissent leur vin, pour payer, etc. Combien d'enfants réclament le téléphone de leurs parents pour passer le temps, pour s'amuser? Euhh? Les crayons de cire, ça ne "pogne" plus? Jaser, ce n'est pas suffisant. Apporter un livre?
C'est quoi, on a tellement peur d'être ennuyant qu'on distribue nos cellulaires pour passer le temps à nos enfants. Pourquoi? Parce qu'on donne le mauvais exemple? Parce qu'on fait pareil?
Libellés :
Gadgets superflus,
Jeux et jouets... aimés ou détestés
lundi 24 octobre 2011
30 ans plus tard... encore la maudite flûte à bec!
Je ne connais rien à la musique (mais je connais toujours les paroles à On connaît la chanson! J'aurais gagné 2 x 35 000$ à date! ;-) alors y a-t-il quelqu'un qui peut me dire pourquoi -Ô pourquoi?- on enseigne encore la flûte à bec au primaire?!
Qui a du plaisir à écouter un «air» à la flûte à bec? Qui est encore capable de supporter Le Tournesol?
Qui joue de la flûte à bec dans la vie par plaisir? P.E.R.S.O.N.N.E. Ça existe un virtuose de la flûte à bec? Je veux des noms!!!
Je serais prête à débourser l'achat d'un flûte traversière -ou n'importe quel un instrument un tantinet plus mélodieux- pour supporte l'apprentissage de la musique par ma progéniture sans avoir besoin de faire de grimaces ou de porter mes mains aux oreilles par pur réflexe. Un xylophone peut-être? Les pratiques seraient plus douces à mes oreilles et ça mettrait une ambiance zen dans la maison. Tandis que la flûte à bec... Bonjour l'agressivité!
C'est que la semaine dernière, j'ai eu droit à des pratiques assidues de flûte à bec sous mon toit pour cause d'examens de musique à l'agenda de Momo. J'ai pensé mettre des tampons super absorbants dans mes oreilles tant elles saignaient.
Et quand j'ai fini par reconnaître l'air qui flûtait dans la chambre de Momo (dont la porte était fermée à double tour -la prochaine fois, je mets des serviettes sous le seuil...), j'ai quasiment regretté le classique Tournesol...
C'était My heart will go on... et ça donnait juste le goût de se pitcher par-dessus bord! ;-)
Qui a du plaisir à écouter un «air» à la flûte à bec? Qui est encore capable de supporter Le Tournesol?
Qui joue de la flûte à bec dans la vie par plaisir? P.E.R.S.O.N.N.E. Ça existe un virtuose de la flûte à bec? Je veux des noms!!!
Je serais prête à débourser l'achat d'un flûte traversière -ou n'importe quel un instrument un tantinet plus mélodieux- pour supporte l'apprentissage de la musique par ma progéniture sans avoir besoin de faire de grimaces ou de porter mes mains aux oreilles par pur réflexe. Un xylophone peut-être? Les pratiques seraient plus douces à mes oreilles et ça mettrait une ambiance zen dans la maison. Tandis que la flûte à bec... Bonjour l'agressivité!
C'est que la semaine dernière, j'ai eu droit à des pratiques assidues de flûte à bec sous mon toit pour cause d'examens de musique à l'agenda de Momo. J'ai pensé mettre des tampons super absorbants dans mes oreilles tant elles saignaient.
Et quand j'ai fini par reconnaître l'air qui flûtait dans la chambre de Momo (dont la porte était fermée à double tour -la prochaine fois, je mets des serviettes sous le seuil...), j'ai quasiment regretté le classique Tournesol...
C'était My heart will go on... et ça donnait juste le goût de se pitcher par-dessus bord! ;-)
Libellés :
Échos d'école,
Imparfaitement soi-même
dimanche 23 octobre 2011
Bravo aux gagnantes!
Vous avez été nombreuses à vous vider le coeur sur ce qui vous rendait à boutte du lavage! Mais voici nos 5 gagnantes qui se méritent, chacune, un ensemble cadeau comprenant entre autres le nouveau détergent à lessive Arm&Hammer Eau Froide ainsi qu'un accessoire pour vous prémunir contre le froid. Juste à temps pour la saison froide qui arrive!
Alors voici les chanceuses qui penseront à nous en lavant leurs prochaines brassées...
- Mélanie Ducharme
- Catherine Paradis
- Isabelle Renz
- Caroline Gauthier
- Caroline Proteau
On publiera vos commentaires sur le lavage bientôt sur le blogue!
vendredi 21 octobre 2011
Weird weird Halloween
On se prépare tranquillement. L'Halloween est la fête de l'étrange et on a trouvé le top du top!
- Des citrouilles sculptées avec des images représentant des naissances... rien de moins!
- Des bonbons tellement étranges avec des gommes en forme de boulettes de viande! Mais aussi des bonbons franchement dégueu!
- L'Halloween vintage... au secours! Ça fait vraiment peur!
Dites-nous ce que vous avez vu concernant l'Halloween: le pire costume pour bébé, les bonbons les plus dégueus, n'importe quoi!
- Des citrouilles sculptées avec des images représentant des naissances... rien de moins!
- Des bonbons tellement étranges avec des gommes en forme de boulettes de viande! Mais aussi des bonbons franchement dégueu!
- L'Halloween vintage... au secours! Ça fait vraiment peur!
Dites-nous ce que vous avez vu concernant l'Halloween: le pire costume pour bébé, les bonbons les plus dégueus, n'importe quoi!
Libellés :
Plai(Z)irs
mercredi 19 octobre 2011
Tout pour la photo
Il y a une limite assez nette à mes yeux entre l'imperfection et l'incompétence parentale mais il ne suffit parfois que d'un gros manque de jugement pour tomber dans le deuxième camp.
Quelques exemples éloquents en photos:
(Source: coloredwall.com)
Et que dire de la mère qui prend tout son temps pour immortaliser cette scène? Ok, c'est drôle, ça va pogner sur YouTube, tes amis Facebook vont a-do-rer... Mais pendant ce temps, ton gars, est gelé ben raide dans l'eau glacée de la toilette...
Ce ne sont pas tant les situations qui me désolent que le parent qui juge important de prendre une photo ou de sortir la caméra vidéo à ce moment précis.
Faudrait surtout pas allez éponger le sang de ton kid qui vient de se fendre le menton sur le ciment avant d'avoir pris des bonnes shots sur ton iPhone!
Quelle drôle d'époque quand même...
Quelques exemples éloquents en photos:
(Source: coloredwall.com)
Et que dire de la mère qui prend tout son temps pour immortaliser cette scène? Ok, c'est drôle, ça va pogner sur YouTube, tes amis Facebook vont a-do-rer... Mais pendant ce temps, ton gars, est gelé ben raide dans l'eau glacée de la toilette...
Ce ne sont pas tant les situations qui me désolent que le parent qui juge important de prendre une photo ou de sortir la caméra vidéo à ce moment précis.
Faudrait surtout pas allez éponger le sang de ton kid qui vient de se fendre le menton sur le ciment avant d'avoir pris des bonnes shots sur ton iPhone!
Quelle drôle d'époque quand même...
Libellés :
Enjeux maternels,
Vider son caca
lundi 17 octobre 2011
La vraie conciliation commence par l'imperfection!
Le conciliation travail-famille est sur toutes les lèvres ces jours-ci. Dans le Coup de Pouce, on nous dit qu'il faut parfois couper dans nos activités parascolaires (ce qu'on a fait ici!) et onprésente des familles qui y parviennent à leur manière. Dans le Châtelaine, on a présenté des familles (presque trop parfaites!) qui nous parlaient de leur rentrée scolaire. Et il y a eu le fil Je ne sais pas comment elle fait (tiré du livre du même nom!) aussi dans lequel on rit un peu jaune en se voyant un peu chez le personnage principal.
Chaque automne, la conciliation travail-famille est sur toutes les lèvres. Et voilà que L'Actualité n'y échappe pas et livre un des textes les plus justes sur le sujet. C'est à lire. En fait, il soulève de grandes réflexions. En recherchant cet équilibre, on cherche quoi en fait? Ressembler au voisin? Avancer toujours plus haut dans la hiérarchie sociale? Viser une vie domestique parfaite rangée et organisée au quart de tour?
En fait, ce qui devrait primer nos choix et nos façons de vivre, c'est surtout faire en sorte de ne jamais se réveiller, un jour, et se dire qu'on a passé à côté de quelque chose. Ça, ce serait épouvantable, avouez-le! Selon l'auteur, on met tout sur le dos de la conciliation travail-famille, comme si c'était elle qui allait tout changer. Mais c'est à nous de la faire à notre manière. Il n'y a pas une conciliation parfaite qui vaut pour toutes les familles. On n'a pas tous les mêmes valeurs et les mêmes intérêts dans la vie. «Si, un jour, on se réveille avec la désagréable sensation d'être passé à côté de quelque chose, que la vraie vie est ailleurs, c'est alors que la conciliation travail-famille prend son sens et que, au lieu de contribuer à l'absurdité d'un monde obsédé par la réussite et ses symboles, elle convoque une idée de renoncement.» Parce que oui, dans la vie, il faut renoncer à des trucs. Même si ce n'est pas facile, même si on est les seuls à le demander. L'auteur le dit clairement: «Parce que c'est encore plus simple de se tuer à faire comme tout le monde que d'aller contre le courant.»
Alors arrêtons de rêver à la conciliation travail-famille parfaite et créons-la! Et surtout bannissons la facilité de vouloir faire et avoir comme les autres. «Tout avoir et, en plus, tout faire pour atteindre la perfection : ce n'est pas de l'ambition, c'est une forme de délire collectif.»
Tiens, on reconnait quelques idées ici... ;-)
Chaque automne, la conciliation travail-famille est sur toutes les lèvres. Et voilà que L'Actualité n'y échappe pas et livre un des textes les plus justes sur le sujet. C'est à lire. En fait, il soulève de grandes réflexions. En recherchant cet équilibre, on cherche quoi en fait? Ressembler au voisin? Avancer toujours plus haut dans la hiérarchie sociale? Viser une vie domestique parfaite rangée et organisée au quart de tour?
En fait, ce qui devrait primer nos choix et nos façons de vivre, c'est surtout faire en sorte de ne jamais se réveiller, un jour, et se dire qu'on a passé à côté de quelque chose. Ça, ce serait épouvantable, avouez-le! Selon l'auteur, on met tout sur le dos de la conciliation travail-famille, comme si c'était elle qui allait tout changer. Mais c'est à nous de la faire à notre manière. Il n'y a pas une conciliation parfaite qui vaut pour toutes les familles. On n'a pas tous les mêmes valeurs et les mêmes intérêts dans la vie. «Si, un jour, on se réveille avec la désagréable sensation d'être passé à côté de quelque chose, que la vraie vie est ailleurs, c'est alors que la conciliation travail-famille prend son sens et que, au lieu de contribuer à l'absurdité d'un monde obsédé par la réussite et ses symboles, elle convoque une idée de renoncement.» Parce que oui, dans la vie, il faut renoncer à des trucs. Même si ce n'est pas facile, même si on est les seuls à le demander. L'auteur le dit clairement: «Parce que c'est encore plus simple de se tuer à faire comme tout le monde que d'aller contre le courant.»
Alors arrêtons de rêver à la conciliation travail-famille parfaite et créons-la! Et surtout bannissons la facilité de vouloir faire et avoir comme les autres. «Tout avoir et, en plus, tout faire pour atteindre la perfection : ce n'est pas de l'ambition, c'est une forme de délire collectif.»
Tiens, on reconnait quelques idées ici... ;-)
Libellés :
Angoisses maternelles;,
Enjeux maternels
samedi 15 octobre 2011
Pour contrer le temps froid...
On est curieuses! On le sait que c'est samedi matin et qu'il annonce de la pluie un peu partout en province (vous n'y échapperez pas vous non plus!). Le temps froid s'annonce après le si joli soubresaut de la météo le week-end dernier!
Alors, tant qu'à parler de laver notre linge à l'eau froide, on a envie de savoir ce qui vous plait le plus avec le retour du temps froid et ce qui vous met le plus "down"...
Et surtout, n'oubliez pas notre super concours Lavez votre linge sale (à l'eau froide) en famille avec les (Z) !! On fait le tirage à la fin de la semaine!
vendredi 14 octobre 2011
Trouvez l'erreur: vos enfants et votre vie sexuelle
Ok, aujourd'hui, on parle des vraies affaires! Comment faire pour avoir une vie sexuelle dans les premières années de vie de nos enfants?
Si les petits ont un sixième sens pour se mettre à hurler (ou à vomir leurs premiers soubresauts de gastro = ça nous est arrivés!) au moment le moins du moins opportun, les plus grands semblent avoir une ouïe de super héros au moindre rapprochement charnel de maman et papa. Suffit de faire revoler les draps pour entendre un «Maman, j'm'endors paaaaas....» (Fiou! Merci de nous avertir!)
La solution chez nous pour retrouver un semblant d'intimité: déménager notre chambre au sous-sol (bon, pas avant deux ans encore, mais ça se fera!). Les pas des pré-ado dans les escaliers, on va les entendre. Et serrure il y aura.
Avec l'arrivée des enfants disparaît la spontanéité (et les seins fermes, mais ça, c'est un autre sujet!) Et plus ils grandissent, plus cette spontanéité revient nous hanter jusqu'à devenir un fantasme. Mais comme y'a rien qui m'enrage le plus que de me faire pogner en pleine séance de tripotage par ma progéniture (surtout que leur découverte s'accompagne dorénavant d'un «Euuuuurk!» bien senti qui attire toute la fratrie qui s'y met aussi), j'aime mieux laisser faire!
Le site iVillage s'est penché sur le sujet et a établi les règles à suivre pour neuf scénarios , du cododo (comment faites-vous?!?!) à l'intrusion du petit dernier dans une douche en duo. Et donne 8 trucs pour réussir à s'envoyer en l'air en vacances malgré les enfants. Aaaah! Les vacances familiales à l'hôtel, un autre beau moment d'intimité extrême... à 5 dans notre cas: «Maman, pourquoi tu prends une douche à 3 heures du matin? (...) Y'é où papa?»
Conseils, anecdotes, moments humiliants à partager?
En espérant que tout ceci vous permettra de mieux profiter d'un beau weekend pluvieux...
Si les petits ont un sixième sens pour se mettre à hurler (ou à vomir leurs premiers soubresauts de gastro = ça nous est arrivés!) au moment le moins du moins opportun, les plus grands semblent avoir une ouïe de super héros au moindre rapprochement charnel de maman et papa. Suffit de faire revoler les draps pour entendre un «Maman, j'm'endors paaaaas....» (Fiou! Merci de nous avertir!)
La solution chez nous pour retrouver un semblant d'intimité: déménager notre chambre au sous-sol (bon, pas avant deux ans encore, mais ça se fera!). Les pas des pré-ado dans les escaliers, on va les entendre. Et serrure il y aura.
Avec l'arrivée des enfants disparaît la spontanéité (et les seins fermes, mais ça, c'est un autre sujet!) Et plus ils grandissent, plus cette spontanéité revient nous hanter jusqu'à devenir un fantasme. Mais comme y'a rien qui m'enrage le plus que de me faire pogner en pleine séance de tripotage par ma progéniture (surtout que leur découverte s'accompagne dorénavant d'un «Euuuuurk!» bien senti qui attire toute la fratrie qui s'y met aussi), j'aime mieux laisser faire!
Le site iVillage s'est penché sur le sujet et a établi les règles à suivre pour neuf scénarios , du cododo (comment faites-vous?!?!) à l'intrusion du petit dernier dans une douche en duo. Et donne 8 trucs pour réussir à s'envoyer en l'air en vacances malgré les enfants. Aaaah! Les vacances familiales à l'hôtel, un autre beau moment d'intimité extrême... à 5 dans notre cas: «Maman, pourquoi tu prends une douche à 3 heures du matin? (...) Y'é où papa?»
Conseils, anecdotes, moments humiliants à partager?
En espérant que tout ceci vous permettra de mieux profiter d'un beau weekend pluvieux...
Libellés :
Angoisses maternelles,
Petits (z)imparfaits
mercredi 12 octobre 2011
C'est lequel votre préféré?
Dans certaines familles c'est tabou, dans d'autres c'est ultra évident. Untel est le chouchou de Maman, l'autre celui de Papa. Certains ne s'en cachent même pas. Et parfois c'est le grand-parent qui ose un peu trop afficher ses affinités avec l'un ou l'autre de ses petits-enfants.
Comme parent d'une fratrie, on tente par tous les moyens d'être justes, égalitaires, pas plus autoritaires avec nos enfants. On s'assure de ne pas accorder plus d'attention à l'un qu'à l'autre, de faire autant de câlins à tous, d'avoir des moments privilégiés avec chacun d'eux. Plus facile à dire qu'à faire mais c'est l'objectif au quotidien.
Et, même si on vise l'égalité, il semblerait qu'on ait bel et bien, au fond de nous, un préféré. Le Time a abordé la question récemment. Trois critères motiveraient notre choix: l'ordre de naissance, la beauté et l'intelligence. Et, habituellement, le préféré du père n'est pas celui de la mère. Bref, chacun a le sien.
Quel enfant sauveriez-vous en premier d'un incendie? À quel enfant pardonnez-vous plus facilement ses gaffes? Des questions auxquelles on ne veut pas avoir à répondre car elles nous mettent mal à l'aise.
Mais je crois qu'il est possible (et même normal) d'avoir plus d'affinités avec un enfant qu'un autre. Il suffit de l'admettre. Ainsi, je m'accorde le droit de privilégier une activité avec l'un de mes enfants si cela nous apporte plus de plaisir en duo qu'en famille. Exemple: je magasine les vêtements avec Momo mais je fais l'épicerie avec Lolo. Lili aime faire des séances interminables de câlins, les autres se tannent plus vite. Est-ce du favoritisme? J'appellerais plutôt cela de l'adaptation. Je m'adapte à la personnalité et aux intérêts de mes enfants. J'en privilégie un pour cela et un autre pour autre chose mais de là à avoir délibérément un préféré (et l'afficher!), il y a un pas que je ne pourrais jamais franchir par souci d'équité. Et, au final, l'attention et l'amour que je leur porte sont (ou me semblent, du moins!) identiques.
J'aime mieux être bonne une mère pour chacun d'entre eux qu'être une mère exceptionnelle pour un seul et nulle pour les deux autres.
Et vous, entre favoritisme et équité, comment vous débrouillez-vous?
Comme parent d'une fratrie, on tente par tous les moyens d'être justes, égalitaires, pas plus autoritaires avec nos enfants. On s'assure de ne pas accorder plus d'attention à l'un qu'à l'autre, de faire autant de câlins à tous, d'avoir des moments privilégiés avec chacun d'eux. Plus facile à dire qu'à faire mais c'est l'objectif au quotidien.
Et, même si on vise l'égalité, il semblerait qu'on ait bel et bien, au fond de nous, un préféré. Le Time a abordé la question récemment. Trois critères motiveraient notre choix: l'ordre de naissance, la beauté et l'intelligence. Et, habituellement, le préféré du père n'est pas celui de la mère. Bref, chacun a le sien.
Quel enfant sauveriez-vous en premier d'un incendie? À quel enfant pardonnez-vous plus facilement ses gaffes? Des questions auxquelles on ne veut pas avoir à répondre car elles nous mettent mal à l'aise.
Mais je crois qu'il est possible (et même normal) d'avoir plus d'affinités avec un enfant qu'un autre. Il suffit de l'admettre. Ainsi, je m'accorde le droit de privilégier une activité avec l'un de mes enfants si cela nous apporte plus de plaisir en duo qu'en famille. Exemple: je magasine les vêtements avec Momo mais je fais l'épicerie avec Lolo. Lili aime faire des séances interminables de câlins, les autres se tannent plus vite. Est-ce du favoritisme? J'appellerais plutôt cela de l'adaptation. Je m'adapte à la personnalité et aux intérêts de mes enfants. J'en privilégie un pour cela et un autre pour autre chose mais de là à avoir délibérément un préféré (et l'afficher!), il y a un pas que je ne pourrais jamais franchir par souci d'équité. Et, au final, l'attention et l'amour que je leur porte sont (ou me semblent, du moins!) identiques.
J'aime mieux être bonne une mère pour chacun d'entre eux qu'être une mère exceptionnelle pour un seul et nulle pour les deux autres.
Et vous, entre favoritisme et équité, comment vous débrouillez-vous?
Libellés :
Enjeux maternels,
Petits (z)imparfaits
lundi 10 octobre 2011
Un peu de notre faute?
On en a beaucoup entendu parler la semaine passée: il parait que les Québécoises seraient moins portées à allaiter leur enfant. Du coup, avec nos sorties qui ont toujours provoqué de nombreux commentaires sur notre «non-allaitement par choix» (ici, ici et ici), on s'est demandé si ce n'était pas un peu de notre faute...
Et voilà qu'on craint (je ne peux pas croire!) que les Québécoises soient moins bien informées que le reste des Canadiennes sur les bienfaits de l'allaitement. Sur la Mère Blogue, on se demande s'il y avait autre chose...
Oui, il y a autre chose.
Et voilà qu'on craint (je ne peux pas croire!) que les Québécoises soient moins bien informées que le reste des Canadiennes sur les bienfaits de l'allaitement. Sur la Mère Blogue, on se demande s'il y avait autre chose...
Oui, il y a autre chose.
Peut-être que c'est totalement le contraire. Et c'est ce que j'ai tendance à croire. Les mères québécoises sont justement tellement informées qu’elles ont peut-être justement envie de revenir à la base et de se fier à elles-mêmes. Elles ont gardé leur sens critique et leur capacité de prendre des décisions qui favorisent autant le bien de leur bébé que leur bien à elles. Elles évaluent ce qui se passe dans leur réalité et non par rapport à des statistiques, des études qui se contredisent tout le temps et des livres moralisateurs. Elles n’ont plus assez de lait? Bébé boit trop souvent et trop longtemps? Elles sont épuisées? À boutte? Ça ne leur dit rien d’allaiter? Elles ont mal? Ça ne se passe pas bien? Leur bébé semble affamé en permanence? Peu importe. PEU IMPORTE. Elles ont opté pour le biberon pour retrouver un petit bout de qualité de vie dans ce tourbillon qu’est d'avoir un enfant! Point.
Tant mieux, en fait! Les Québécoises sont peut-être plus lucides et capables de choisir pour elles-mêmes sans craindre le jugement des autres si elles dérogent des lignes directrices de tous et chacun. La ligne directrice qu'une mère doit suivre, c'est la sienne. That's it! Il faut dédramatiser le biberon! Ce n'est pas parce qu'elles donnent le biberon que leur enfant sera carencé, que leur enfant n'aura pas un QI exceptionnel ou que leur relation mère-enfant est à jamais scrappée. Et ce n'est pas parce qu'elles donnent le biberon que leur enfant sera dépourvu d'anticorps et sera constamment malade. L'allaitement n'est pas un vaccin miracle!
Tant mieux, en fait! Les Québécoises sont peut-être plus lucides et capables de choisir pour elles-mêmes sans craindre le jugement des autres si elles dérogent des lignes directrices de tous et chacun. La ligne directrice qu'une mère doit suivre, c'est la sienne. That's it! Il faut dédramatiser le biberon! Ce n'est pas parce qu'elles donnent le biberon que leur enfant sera carencé, que leur enfant n'aura pas un QI exceptionnel ou que leur relation mère-enfant est à jamais scrappée. Et ce n'est pas parce qu'elles donnent le biberon que leur enfant sera dépourvu d'anticorps et sera constamment malade. L'allaitement n'est pas un vaccin miracle!
J'espère que ces nouvelles statistiques ne feront pas en sorte qu'on devra encore se faire farcir à nouveau les oreilles des recommandations de santé publique en matière d’allaitement. On n'en peut plus! Même nos copines qui allaitent le disent.
Finalement, cette statistique, je l'aime bien. Parce qu'elle montre qu’on n’est pas juste des moutons, qu’on est encore capable de réfléchir et de choisir ce qui est bon pour soi et notre enfant, à un moment de notre vie...Et si c'est le sein dans le plaisir, tant mieux! Si c'est le biberon dans le plaisir, tant mieux! À chacun ses choix! La priorité: que le bébé ET la mère soient bien! Mais, pitié, qu'on arrête de chercher les raisons pour le «non-allaitement»: ça se peut, tout simplement. Et ce n'est pas parce qu'on est sourdes. On vous a tous entendu, les pro-pro-pro de l'allaitement! Vous pouvez prendre un break!
Libellés :
Imparfaitement soi-même;,
Vider son caca
samedi 8 octobre 2011
Lavez votre linge sale (à l'eau froide) en famille avec les (Z)
Le temps froid s'est montré le bout du nez cette semaine. Malgré qu'on vit un dernier (nooooon!) soubresaut de l'été ce week-end, on doit s'y faire... l'automne froid (et peut-être même pluvieux et gris!) nous attend dans le détour!
Et avec cela, viennent les innombrables brassées de vêtements qu'on a rangé à la hâte le printemps dernier. Oh! Ils sont propres, mais ils nécessitent quand même un p'tit tour dans la laveuse pour sentir bon et - avouons-le - être un peu défrippés de leur long séjour dans des sacs à vidange dans le fond du garde-robe dans la cave! Alors, il fera peut-être beau et chaud ce week-end, mais on sera une belle gang à étendre sur la corde nos habits de neige!
Chez les (Z), depuis longtemps, on lave à l'eau froide! On a même élaboré une nouvelle théorie du pourquoi laver notre linge sale à l'eau froide... avec le nouveau détergent à lessive
Arm&Hammer Eau froide.
1) On est bien obligé de laver notre linge... avec toute notre marmaille!
2) Autant le laver avec un détergent efficace et pas trop coûteux! Ainsi, on ne dépense pas une fortune en détergent, mais on ne lésine pas sur son pouvoir détachant!
3) Autant le laver avec de l'eau froide, on épargne encore. Et l'eau froide donne les mêmes résultats qu'à l'eau chaude... ça lave! C'est ce qui compte!
4) Avec nos économies, on peut utiliser ces sous pour s'acheter des trucs pour nous... possiblement d'autres vêtements qu'on sera obligé de 1) 2) 3)... et finalement re-4).
Un concours!!
Alors, pour vous donner un peu de courage entre toutes vos brassées, on a décidé de vous gâter. Arm&Hammer offrira à 5 chanceuses un prix comprenant leur tout nouveau détergent à lessive Arm&Hammer Eau froide ainsi qu'une paire de mitaines ou de gants pour vous prémunir contre le froid qui s'en vient (nous aussi, on aimerait mieux faire du déni pour ne pas le reconnaître... mais c'est une évidence!).
Pour participer? Rien de plus simple. C'est le temps de laver votre linge sale (à l'eau froide!) en famille avec les (Z)! Vous nous écrivez un courriel en nous disant qu'est-ce qui vous rend à boutte quand vient le temps de faire le lavage? Videz-vous le coeur, c'est le temps (nous aussi, on haït cela!).
Vous avez jusqu'au samedi 21 octobre prochain pour participer!
Et avec cela, viennent les innombrables brassées de vêtements qu'on a rangé à la hâte le printemps dernier. Oh! Ils sont propres, mais ils nécessitent quand même un p'tit tour dans la laveuse pour sentir bon et - avouons-le - être un peu défrippés de leur long séjour dans des sacs à vidange dans le fond du garde-robe dans la cave! Alors, il fera peut-être beau et chaud ce week-end, mais on sera une belle gang à étendre sur la corde nos habits de neige!
Chez les (Z), depuis longtemps, on lave à l'eau froide! On a même élaboré une nouvelle théorie du pourquoi laver notre linge sale à l'eau froide... avec le nouveau détergent à lessive
Arm&Hammer Eau froide.
1) On est bien obligé de laver notre linge... avec toute notre marmaille!
2) Autant le laver avec un détergent efficace et pas trop coûteux! Ainsi, on ne dépense pas une fortune en détergent, mais on ne lésine pas sur son pouvoir détachant!
3) Autant le laver avec de l'eau froide, on épargne encore. Et l'eau froide donne les mêmes résultats qu'à l'eau chaude... ça lave! C'est ce qui compte!
4) Avec nos économies, on peut utiliser ces sous pour s'acheter des trucs pour nous... possiblement d'autres vêtements qu'on sera obligé de 1) 2) 3)... et finalement re-4).
Un concours!!
Alors, pour vous donner un peu de courage entre toutes vos brassées, on a décidé de vous gâter. Arm&Hammer offrira à 5 chanceuses un prix comprenant leur tout nouveau détergent à lessive Arm&Hammer Eau froide ainsi qu'une paire de mitaines ou de gants pour vous prémunir contre le froid qui s'en vient (nous aussi, on aimerait mieux faire du déni pour ne pas le reconnaître... mais c'est une évidence!).
Pour participer? Rien de plus simple. C'est le temps de laver votre linge sale (à l'eau froide!) en famille avec les (Z)! Vous nous écrivez un courriel en nous disant qu'est-ce qui vous rend à boutte quand vient le temps de faire le lavage? Videz-vous le coeur, c'est le temps (nous aussi, on haït cela!).
Vous avez jusqu'au samedi 21 octobre prochain pour participer!
vendredi 7 octobre 2011
Oh! les belles bedaines...
Je n'ai jamais compris le trip de la bedaine... Peut-être parce que, quand je tentais désespérément de tomber enceinte avant mes deux fécondation in vitro, juste en voir une m'énervait au plus haut point (je ne suis pas la seule, parlez-en à toutes les infertiles de ce monde!).
Mais, 8 ans et 3 enfants plus tard, la vénération de la bedaine est une chose encore tout aussi mystérieuse pour moi. Et celles qui «s'ennuient de leur bedaine» après avoir accouché me font toujours un ti-peu peur. (Le but n'était-il pas d'avoir un enfant?)
C'est pourquoi je suis toujours étonnée du nombre de photos de bedaines qu'on trouve partout sur le web et que je ne manque pas de me payer la traite quand je tombe sur des photos comme celles-ci. (y'en a tout plein si vous cliquez sur le lien)
Les pires, selon moi:
1. La photo «Je pense qu'on a un concept»
2. La photo intense semi-cochonne
(remarquez l'air de famille entre les deux... assez troublant!)
(Source: AwkwardFamilyPhotos.com)
Mais, 8 ans et 3 enfants plus tard, la vénération de la bedaine est une chose encore tout aussi mystérieuse pour moi. Et celles qui «s'ennuient de leur bedaine» après avoir accouché me font toujours un ti-peu peur. (Le but n'était-il pas d'avoir un enfant?)
C'est pourquoi je suis toujours étonnée du nombre de photos de bedaines qu'on trouve partout sur le web et que je ne manque pas de me payer la traite quand je tombe sur des photos comme celles-ci. (y'en a tout plein si vous cliquez sur le lien)
Les pires, selon moi:
1. La photo «Je pense qu'on a un concept»
2. La photo intense semi-cochonne
(remarquez l'air de famille entre les deux... assez troublant!)
(Source: AwkwardFamilyPhotos.com)
Libellés :
N'importe quoi
mercredi 5 octobre 2011
Palmarès du "Y'a pire que nous!"
Y'a des fois qu'on se trouve presque trop parfaite (C'est rare, mais ça arrive!).
Ce weekend, expatriée dans un salon du livre, j'ai vu des choses qui - ma foi! - m'ont un peu surprise...
1) Un matin, en commandant un café dans un petit resto de centre commercial, un parent a commandé pour son garçon de 8 ans environ. "M'a lui prendre deux pogos, des patates à déjeuner et un jus bleu en fontaine!" Ayoye! Déjà les pogos le matin... mais voilà que le petit a demandé "Non, j'aimerais mieux un 7 up!"
2) J'ai vu une maman avec le tatou d'une photo de son enfant sur son bras. Étrange. Surtout que ce n'était pas une super photo et sûrement pas un super tatou. J'ai quand même trouvé pire sur Internet (35 photos de tatous ratés avec photos de bébé), mais quand même. Je serais déprimée d'avoir cela sur l'épaule, au moins dans l'ordi, on peut toujours deleté une photo poche!
3) Dans une boutique pour enfant, on vendait un t-shirt pour tout-petits (18 mois) avec l'inscription d'humour douteux dessus: " Tout ce que maman voulait, c'était un massage..." Belle façon de dire que notre enfant est une erreur! J'ai toujours aimé les t-shirts à message pour les petits, mais celui-ci, désolée, je n'accroche pas du tout.
Il y a des choses vues/entendues/lues que vous vous êtes dit "Non, quand même je n'irai pas jusque là!"
Ce weekend, expatriée dans un salon du livre, j'ai vu des choses qui - ma foi! - m'ont un peu surprise...
1) Un matin, en commandant un café dans un petit resto de centre commercial, un parent a commandé pour son garçon de 8 ans environ. "M'a lui prendre deux pogos, des patates à déjeuner et un jus bleu en fontaine!" Ayoye! Déjà les pogos le matin... mais voilà que le petit a demandé "Non, j'aimerais mieux un 7 up!"
2) J'ai vu une maman avec le tatou d'une photo de son enfant sur son bras. Étrange. Surtout que ce n'était pas une super photo et sûrement pas un super tatou. J'ai quand même trouvé pire sur Internet (35 photos de tatous ratés avec photos de bébé), mais quand même. Je serais déprimée d'avoir cela sur l'épaule, au moins dans l'ordi, on peut toujours deleté une photo poche!
3) Dans une boutique pour enfant, on vendait un t-shirt pour tout-petits (18 mois) avec l'inscription d'humour douteux dessus: " Tout ce que maman voulait, c'était un massage..." Belle façon de dire que notre enfant est une erreur! J'ai toujours aimé les t-shirts à message pour les petits, mais celui-ci, désolée, je n'accroche pas du tout.
Il y a des choses vues/entendues/lues que vous vous êtes dit "Non, quand même je n'irai pas jusque là!"
Libellés :
N'importe quoi
lundi 3 octobre 2011
Les bébés de 2011 sont les plus laids (étude scientifique)
Il y a eu l'étude qui démontrait que les bébés nés à l'automne sont plus asthmatiques que les autres. Celle qui a établi que les mères tristes ont de plus petits bébés et celle qui a prouvé hors de tout doutes que les bébés pouvaient décoder les aboiements des chiens.
Eh oui! Dans le vaste champ de la recherche scientifique portant sur la grossesse, les bébés, l'éducation des enfants et tutti quanti, on a eu notre lot de théories insignifiantes (et ce n'est pas fini!)
Mais celle-ci bat tous les records!
Des pédiatres de l'American Academy of Pediatrics (quand même!) ont annoncé la semaine dernière que les bébés nés en 2011 sont les plus laids à avoir vus le jour. Tenez-vous bien: cela bat même le record de 1981! (fiou, je suis née en 1973!)
Le président de l'association, le Dr Marion Burton, n'y est pas allé avec douceur: ''They have the stubbiest ears, the creepiest little toes—really, I can't do their repulsiveness justice in words. I'm just glad I'm not a parent who has to bring one of these mutts home. Jesus Christ."
En clair: ''Ils sont tellement lettes que je suis fier de ne pas avoir à en rapporter un à la maison!''
Avis à celles dont la date d'accouchement est prévue à la fin décembre: laissez faire le lavage du plancher et les galipettes entre Noël et le Jour de l'An et vous serez assurée d'avoir un beau bébé!
PS: Merci à N. de m'avoir fait parvenir cette nouvelle. J'ai hâte de voir la frimousse du petit M. à la fin du mois! ;-)
Eh oui! Dans le vaste champ de la recherche scientifique portant sur la grossesse, les bébés, l'éducation des enfants et tutti quanti, on a eu notre lot de théories insignifiantes (et ce n'est pas fini!)
Mais celle-ci bat tous les records!
Des pédiatres de l'American Academy of Pediatrics (quand même!) ont annoncé la semaine dernière que les bébés nés en 2011 sont les plus laids à avoir vus le jour. Tenez-vous bien: cela bat même le record de 1981! (fiou, je suis née en 1973!)
Le président de l'association, le Dr Marion Burton, n'y est pas allé avec douceur: ''They have the stubbiest ears, the creepiest little toes—really, I can't do their repulsiveness justice in words. I'm just glad I'm not a parent who has to bring one of these mutts home. Jesus Christ."
En clair: ''Ils sont tellement lettes que je suis fier de ne pas avoir à en rapporter un à la maison!''
Avis à celles dont la date d'accouchement est prévue à la fin décembre: laissez faire le lavage du plancher et les galipettes entre Noël et le Jour de l'An et vous serez assurée d'avoir un beau bébé!
PS: Merci à N. de m'avoir fait parvenir cette nouvelle. J'ai hâte de voir la frimousse du petit M. à la fin du mois! ;-)
Libellés :
Angoisses maternelles,
N'importe quoi
Inscription à :
Articles (Atom)