vendredi 29 novembre 2013
Le BlackFriday: faut être fou...
Aujourd'hui, c'est le Black Friday.
Le monde est fou. Complètement.
Regardez les vidéos compilés par Dominic Arpin de gens qui perdent complètement la tête pour mettre la main sur (genre!) un toaster en vente. De grands coups de porte-clés, des roulades par terre, se pousser, se donner des coups de poings, etc. Tout ça pour une bébelle? Et après, on dit à nos enfants de consommer intelligemment et de régler calmement leurs conflits.
Vous n'êtes pas convaincu de la folie du BlackFriday? Suivez le hashtag #walmartfights ou #BlackFriday sur Twitter ou visitez le site www.balckfridaydeath qui compile les morts (!!) et les blessés de l'histoire du BlackFriday.
Déjà que la madame hystérique de la pub de Walmart me tombait sur les nerfs, je ne comprends pas pantoute cette effervescence de vouloir magasiner spécialement aujourd'hui. Au péril de ma vie, en plus...
Aujourd'hui 33 millions de consommateurs américains se garocheront dans les magasins pour profiter de pseudo-aubaines, faire la file, pester contre les stationnements inexistants, faire monter sa pression, devenir immanquablement à bout de nerfs après moins d'une heure et revenir à la maison bien fier d'avoir économisé quoi... 20$? 50$? Peut-être 100$. Franchement.
Vraiment... Ça donne envie de rester chez nous et magasiner à tout jamais sur le web (pourquoi pas directement sur AirMilesShops pour accumuler des points et possiblement me gâter moi-même ensuite!). Je dois être trop paresseuse pour me faire subir cette folie du BlackFriday. On devrait partir le mouvement RelaxFriday où on magasine de chez soi, un café à la main (c'est presque décembre: avec du Baileys!) en se moquant de ceux qui s'infligent ce supplice. Je ne sauverais pas 100$ (quoique!), mais je vais sauver mon état d'esprit.
Que pensez-vous du BlackFriday? Vous serez dans les magasins aujourd'hui?
Libellés :
A-U-S-E-C-O-U-R-S,
Noël des (Z)imparfaites,
Vider son caca
mardi 26 novembre 2013
Les p'tites scratchs au coeur
Y’a des jours où je trouve que je suis la pire des mères. Et ces jours, il y a toujours beaucoup d’impatience et des phrases lancées en l’air qui entrent en ligne de compte.
Et une fois que c’est lancé, j’ai beau me mordre les lèvres. C’est dit. La petite scratch est faite.
« T’es donc ben maladroite! »
Ce weekend, j’ai lancé cette phrase aussi simple que directe à Lili qui venait d’échapper sa brosse à dents par terre pour la 2e fois dans le même 2 minutes. Deux mottes de dentifrice à ramasser. Deux rinçage de brosse à dents. Pas si compliqué, finalement.
Mais je n’ai pas pu m’empêcher de lui lancer ce commentaire plate. C’est sorti. Tout haut. Alors que j’aurais très bien pu me contenter d’y penser, tout bas.
Et j’ai vu dans ses yeux que ma remarque l'avait blessée. Pas une grande blessure ouverte, juste une petite égratignure. Mais qui fait mal pareil.
Elle a roulé son fauteuil jusqu’à sa chambre, a fermé la porte et ne voulait pas de mon aide pour la hisser sur le lit. Jusqu’à ce qu’elle se rende à l’évidence qu’elle avait besoin de moi pour la soulever. Et que j’aille m’excuser. Mais je trouve toujours que les excuses sont trop faciles. Et je n’en pense pas moins quand c’est à moi de les utiliser.
Avec cette petite phrase, j’ai effacé les rires qu’on avait eu dans la journée. Et je me suis senti la pire des mères. Celle qui scratche des cœurs pas mal plus souvent qu’elle le voudrait. Avec des phrases inutiles, une patience effritée et une boule qui reste dans la gorge pour le reste de la journée.
Et même si je connais ce sentiment de profonde déception qui me happe aussitôt la phrase prononcée, ça finit par se reproduire. Je lance des flèches. D’autres circonstances, même feeling de marde.
Je sais que ce ne sera pas la seule chose que mes enfants retiendront de moi. Ils me répètent si souvent que je suis la «meilleure mère du monde». Et ils semblent le croire véritablement. Reste que moi, des fois, je n'y crois pas.
Et une fois que c’est lancé, j’ai beau me mordre les lèvres. C’est dit. La petite scratch est faite.
« T’es donc ben maladroite! »
Ce weekend, j’ai lancé cette phrase aussi simple que directe à Lili qui venait d’échapper sa brosse à dents par terre pour la 2e fois dans le même 2 minutes. Deux mottes de dentifrice à ramasser. Deux rinçage de brosse à dents. Pas si compliqué, finalement.
Mais je n’ai pas pu m’empêcher de lui lancer ce commentaire plate. C’est sorti. Tout haut. Alors que j’aurais très bien pu me contenter d’y penser, tout bas.
Et j’ai vu dans ses yeux que ma remarque l'avait blessée. Pas une grande blessure ouverte, juste une petite égratignure. Mais qui fait mal pareil.
Elle a roulé son fauteuil jusqu’à sa chambre, a fermé la porte et ne voulait pas de mon aide pour la hisser sur le lit. Jusqu’à ce qu’elle se rende à l’évidence qu’elle avait besoin de moi pour la soulever. Et que j’aille m’excuser. Mais je trouve toujours que les excuses sont trop faciles. Et je n’en pense pas moins quand c’est à moi de les utiliser.
Avec cette petite phrase, j’ai effacé les rires qu’on avait eu dans la journée. Et je me suis senti la pire des mères. Celle qui scratche des cœurs pas mal plus souvent qu’elle le voudrait. Avec des phrases inutiles, une patience effritée et une boule qui reste dans la gorge pour le reste de la journée.
Et même si je connais ce sentiment de profonde déception qui me happe aussitôt la phrase prononcée, ça finit par se reproduire. Je lance des flèches. D’autres circonstances, même feeling de marde.
Je sais que ce ne sera pas la seule chose que mes enfants retiendront de moi. Ils me répètent si souvent que je suis la «meilleure mère du monde». Et ils semblent le croire véritablement. Reste que moi, des fois, je n'y crois pas.
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Angoisses maternelles;
dimanche 24 novembre 2013
Plein de cadeaux sous le sapin des (Z)
Ho! Ho! Ho! La tradition se poursuit. Les (Z) vous gâtent avant le temps pendant tout le mois de décembre. Un tirage par jour pour vous aider à tenir le coup durant ce mois pré-festivités, souvent grande source de stress.
Sous le sapin des (Z), il y a toutes sortes de cadeaux. Certains pour vous faire du bien, d'autres pour amuser vos petits, d'autres pour en profiter en famille. Bref, on veut simplement vous faire plaisir et vous offrir du bon temps.
Cette année, on déballera nos cadeaux mercredi le 27 novembre. Vous pourrez voir tout ce qu'on vous a déniché pour vous. On pense que vous allez être contentes! Ensuite, du 1er au 24 décembre, on fera un tirage (parfois deux!) par jour. Bref, un plaisir avantageusement comparable au ti-chocolat du calendrier de l'Avent!
Pour participer à notre grand concours, rien de plus simple, vous nous envoyez un courriel dans lequel vous inscrivez vos coordonnées complètes (adresse et code postal) et vous répondez à notre question «spécial Noël 2013»:
Nommez une (ou plusieurs) chose sur laquelle vous nous promettez de lâcher prise en 2014
On attend vos réponses avant le 2 décembre 22h. Ne manquez pas le dévoilement des cadeaux le 27 novembre et le début des tirages le 1er décembre!
Sous le sapin des (Z), il y a toutes sortes de cadeaux. Certains pour vous faire du bien, d'autres pour amuser vos petits, d'autres pour en profiter en famille. Bref, on veut simplement vous faire plaisir et vous offrir du bon temps.
Cette année, on déballera nos cadeaux mercredi le 27 novembre. Vous pourrez voir tout ce qu'on vous a déniché pour vous. On pense que vous allez être contentes! Ensuite, du 1er au 24 décembre, on fera un tirage (parfois deux!) par jour. Bref, un plaisir avantageusement comparable au ti-chocolat du calendrier de l'Avent!
Pour participer à notre grand concours, rien de plus simple, vous nous envoyez un courriel dans lequel vous inscrivez vos coordonnées complètes (adresse et code postal) et vous répondez à notre question «spécial Noël 2013»:
Nommez une (ou plusieurs) chose sur laquelle vous nous promettez de lâcher prise en 2014
On attend vos réponses avant le 2 décembre 22h. Ne manquez pas le dévoilement des cadeaux le 27 novembre et le début des tirages le 1er décembre!
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Concours,
Plai(Z)irs
vendredi 22 novembre 2013
On ne se fera pas ch*** avec un poulet rôti
Tout a commencé avec l'achat de poulets entiers que j'ai fait congeler (bon, j'en ai oublié deux sur le bord de l'escalier en croyant que c'était mon chum qui allait les mettre au congélo et lui, pensait que c'était moi. Bref, six heures plus tard au moment de leurs découvertes, les deux poulets étaient bons pour les vidanges!) et mon histoire se termine par une formidable leçon de lâcher-prise.
Je vous la raconte.
Un dimanche après-midi, malgré que je devais travailler pour remettre à temps quelques contrats et malgré le fait que mon chum et les enfants essayaient de faire un GRAND ménage au sous-sol en vue des rénovations qui débutaient le lendemain, je décide de me lancer et de faire cuire deux poulets (pas ceux de l'escalier, mais ceux du congélo que j'avais sorti la veille!). J'avais mis "Faire cuire les poulets" dans ma to-do list. Donc, entre la fin de rédaction d'un article et de la recherche pour un autre, je lâche mon ordi pour aller couper des oignons et des bouts de céleri, saupoudrer mes poulets de fines herbes (après avoir gueulé sur l'état de fouillis total de mon plat d'épices!), vérifié si la pellicule de papier qui imbibe le jus de poulet était sous le poulet et mis les bêtes au four. S'en est suivi évidemment de mille lavages de main; ça m'écoeure du poulet cru (et son jus!)! Mais bon, il faut ce qu'il faut. Je faisais cuire 2 poulets en me trouvant prévoyante. J'allais avoir un souper et au moins quelques lunchs pour le début de la semaine. Je me trouvais prévoyante et organisée pour une fois malgré tout ce que j'avais en tête et ce que je devais faire cette journée-là.
Puis, vers 18h, les yeux petits parce que j'avais passé ma journée devant l'écran de mon ordi, la tête grosse comme ça parce que je n'avais pas arrêté et brûlée tout en sachant qu'il me restait une heure ou deux à travailler encore, je sors le poulet du four. Yé! Manger, enfin! En piquant un bout de cuisse, c'est là que je l'ai aperçu. Quoi? Un espèce de truc comme du papier bruni par le four... Nooon? Eh oui! C'était la pellicule de papier gonflé par la cuisson et rempli de jus de poulet (erk!). Quand je l'ai touchée du bout de la fourchette, elle a explosé comme un mini volcan. Ouache! Vous dire comment ça m'a écoeurée.
J'étais là devant mes deux maudits poulets rôtis mais pas mangeables parce que le boucher de l'épicerie avait mis la pellicule DANS le poulet (moi, je ne mets pas mes mains-là!) et non en-dessous comme d'habitude et que je l'avais pas vue. J'avais perdu du temps dans ma journée déjà over-booké pour préparer un souper que j'allais devoir jeter.
Bref, mes poulets avaient été de trop, toujours, dans cette journée-là. Je m'étais imaginé que c'était une bonne idée de les faire et de rajouter ça dans ma to-do list. Mais c'était de trop. Je ne le voyais pas, mais c'était pourtant ça. Devant mes poulets, j'ai comme réalisé un paquet de choses (qui n'avaient pas du tout rapport avec le poulet!): on s'obliges-tu des fois à faire des trucs vraiment banals pour des raisons nulles. On s'en mets-tu de la pression soi-même pour un truc qui ne vaut pas la peine? On se force, on déploie de l'énergie (trop) pour des choses pas vraiment importantes.
Mon chum est parti à l'épicerie et est revenu avec deux poulets rôtis. 12 minutes que ça lui a pris. 12 minutes. 12. J'en ai pris pas mal plus pour faire mes poulets (penser à les sortir du congélo, vérifier l'état de leur décongélation, préparer la rôtissoire, assaisonner les bêtes, vérifier la cuisson, laver la vaisselle, etc.). Je ne l'avais pas ce temps-là, mais j'ai "cru" que je l'avais.
Je n'en ferai plus de poulet. Comme je ne ferai plus un paquet de trucs dans ma vie. Des trucs que franchement je peux me passer sans problème ou que je peux couper court autrement. Et ça vaudra autant pour une invitation à un party auquel je n'ai pas vraiment envie d'aller, une incitation à faire du bénévolat quand j'ai pas le temps, la non-nécessité de plier nos draps propres avant de le sacrer dans un tiroir, etc. Il y a plein de trucs qui ne méritent pas de se faire ch*** avec. Mais on l'oublie. Trop souvent. Ce soir-là, la leçon je l'ai reçue en plein visage. C'est fini, j'arrête de m'imposer des trucs niaiseux, des attitudes qui bouffent mon énergie, des fausses obligations, etc. Et ce grâce à mes deux poulets rôtis ratés.
Vous, c'est quoi? Avec quoi n'avez-vous plus envie de vous faire ch***?
Je vous la raconte.
Un dimanche après-midi, malgré que je devais travailler pour remettre à temps quelques contrats et malgré le fait que mon chum et les enfants essayaient de faire un GRAND ménage au sous-sol en vue des rénovations qui débutaient le lendemain, je décide de me lancer et de faire cuire deux poulets (pas ceux de l'escalier, mais ceux du congélo que j'avais sorti la veille!). J'avais mis "Faire cuire les poulets" dans ma to-do list. Donc, entre la fin de rédaction d'un article et de la recherche pour un autre, je lâche mon ordi pour aller couper des oignons et des bouts de céleri, saupoudrer mes poulets de fines herbes (après avoir gueulé sur l'état de fouillis total de mon plat d'épices!), vérifié si la pellicule de papier qui imbibe le jus de poulet était sous le poulet et mis les bêtes au four. S'en est suivi évidemment de mille lavages de main; ça m'écoeure du poulet cru (et son jus!)! Mais bon, il faut ce qu'il faut. Je faisais cuire 2 poulets en me trouvant prévoyante. J'allais avoir un souper et au moins quelques lunchs pour le début de la semaine. Je me trouvais prévoyante et organisée pour une fois malgré tout ce que j'avais en tête et ce que je devais faire cette journée-là.
Puis, vers 18h, les yeux petits parce que j'avais passé ma journée devant l'écran de mon ordi, la tête grosse comme ça parce que je n'avais pas arrêté et brûlée tout en sachant qu'il me restait une heure ou deux à travailler encore, je sors le poulet du four. Yé! Manger, enfin! En piquant un bout de cuisse, c'est là que je l'ai aperçu. Quoi? Un espèce de truc comme du papier bruni par le four... Nooon? Eh oui! C'était la pellicule de papier gonflé par la cuisson et rempli de jus de poulet (erk!). Quand je l'ai touchée du bout de la fourchette, elle a explosé comme un mini volcan. Ouache! Vous dire comment ça m'a écoeurée.
J'étais là devant mes deux maudits poulets rôtis mais pas mangeables parce que le boucher de l'épicerie avait mis la pellicule DANS le poulet (moi, je ne mets pas mes mains-là!) et non en-dessous comme d'habitude et que je l'avais pas vue. J'avais perdu du temps dans ma journée déjà over-booké pour préparer un souper que j'allais devoir jeter.
Bref, mes poulets avaient été de trop, toujours, dans cette journée-là. Je m'étais imaginé que c'était une bonne idée de les faire et de rajouter ça dans ma to-do list. Mais c'était de trop. Je ne le voyais pas, mais c'était pourtant ça. Devant mes poulets, j'ai comme réalisé un paquet de choses (qui n'avaient pas du tout rapport avec le poulet!): on s'obliges-tu des fois à faire des trucs vraiment banals pour des raisons nulles. On s'en mets-tu de la pression soi-même pour un truc qui ne vaut pas la peine? On se force, on déploie de l'énergie (trop) pour des choses pas vraiment importantes.
Mon chum est parti à l'épicerie et est revenu avec deux poulets rôtis. 12 minutes que ça lui a pris. 12 minutes. 12. J'en ai pris pas mal plus pour faire mes poulets (penser à les sortir du congélo, vérifier l'état de leur décongélation, préparer la rôtissoire, assaisonner les bêtes, vérifier la cuisson, laver la vaisselle, etc.). Je ne l'avais pas ce temps-là, mais j'ai "cru" que je l'avais.
Je n'en ferai plus de poulet. Comme je ne ferai plus un paquet de trucs dans ma vie. Des trucs que franchement je peux me passer sans problème ou que je peux couper court autrement. Et ça vaudra autant pour une invitation à un party auquel je n'ai pas vraiment envie d'aller, une incitation à faire du bénévolat quand j'ai pas le temps, la non-nécessité de plier nos draps propres avant de le sacrer dans un tiroir, etc. Il y a plein de trucs qui ne méritent pas de se faire ch*** avec. Mais on l'oublie. Trop souvent. Ce soir-là, la leçon je l'ai reçue en plein visage. C'est fini, j'arrête de m'imposer des trucs niaiseux, des attitudes qui bouffent mon énergie, des fausses obligations, etc. Et ce grâce à mes deux poulets rôtis ratés.
Vous, c'est quoi? Avec quoi n'avez-vous plus envie de vous faire ch***?
mercredi 20 novembre 2013
Merci! Merci!
Les (Z) sont parmi les 10 finalistes des blogues canadiens les plus populaires dans la catégorie « Famille » au concours MiB Awards de madeinblog.
On se retrouve là avec trois autres blogues québécois: Mamanbooh!, Un gars, un père et Wooloo.
Mais, on est surtout là grâce à vous, lectrices et (Z)amies. Alors merci! Doublement merci!
À suivre: l'annonce des gagnants aura lieu le 2 décembre prochain.
Libellés :
(Z)approuvé,
On parle de nous
Être mère, la plus importante job au monde?
La maternité est de plus en plus magnifiée, glorifiée, mise sur un piédestal. Alors que nos arrières-grands-mères se tuaient à l'ouvrage avec une tralée d'enfants à leurs trousses sans se poser de questions, de nos jours, moins on en a et plus on fusionne avec sa progéniture. Selon Parents magazine, 92% des lecteurs sondés (en majorité des femmes, j'imagine) trouvent qu'être mère est la plus importante job au monde.
Ce ne serait pas trop s'auto-attribuer de l'importance, ça? Ce ne serait pas une façon de serendre croire indispensable?
D'abord, l'enfant a un père qui, à mon sens devait faire équipe à part égale à titre de parent. Éventuellement, après les deux premières années de vie d'un enfant, le père et la mère devrait être interchangeable et répondre tout aussi adéquatement aux besoins de l'enfant. Avec des forces et ses faiblesses, bien sûr. Mais le père devrait tout autant pouvoir se débrouiller que la mère avec ''la chair de sa chair''.
Ensuite, c'est minimiser l'importance de tous ceux qui interviennent auprès de l'enfant. L'entourage affectif (grands-parents, etc.) mais aussi les éducatrices, les professeurs, etc. qui ont un rôle primordial à jouer dans le développement de l'enfant.
Ça commence à faire une grosse équipe avec qui partager les honneurs finalement...
Combien de fois vous êtes-vous dit que personne ne ''saurait comment garder votre enfant''? Ils s'en sont bien sortis, finalement. Combien de fois avez-vous cru que votre enfant était triste de partir à l'école sans vous? Il est revenu avec le sourire et plein de choses à raconter chaque fois.
Oui, être mère est un rôle de premier plan. Mais ça reste un rôle... et il n'a peut-être pas autant d'importance aux yeux de nos enfants qu'onpourrait voudrait le croire.
Ce ne serait pas trop s'auto-attribuer de l'importance, ça? Ce ne serait pas une façon de se
D'abord, l'enfant a un père qui, à mon sens devait faire équipe à part égale à titre de parent. Éventuellement, après les deux premières années de vie d'un enfant, le père et la mère devrait être interchangeable et répondre tout aussi adéquatement aux besoins de l'enfant. Avec des forces et ses faiblesses, bien sûr. Mais le père devrait tout autant pouvoir se débrouiller que la mère avec ''la chair de sa chair''.
Ensuite, c'est minimiser l'importance de tous ceux qui interviennent auprès de l'enfant. L'entourage affectif (grands-parents, etc.) mais aussi les éducatrices, les professeurs, etc. qui ont un rôle primordial à jouer dans le développement de l'enfant.
Ça commence à faire une grosse équipe avec qui partager les honneurs finalement...
Combien de fois vous êtes-vous dit que personne ne ''saurait comment garder votre enfant''? Ils s'en sont bien sortis, finalement. Combien de fois avez-vous cru que votre enfant était triste de partir à l'école sans vous? Il est revenu avec le sourire et plein de choses à raconter chaque fois.
Oui, être mère est un rôle de premier plan. Mais ça reste un rôle... et il n'a peut-être pas autant d'importance aux yeux de nos enfants qu'on
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Enjeux maternels
lundi 18 novembre 2013
Des excuses imparfaites qu'on adore
Tiens, tiens... Pourquoi ne pas commencer la journée par des trucs qui font sourire? Ça fait du bien (Surtout en novembre. En novembre gris. En novembre gris et pluvieux. Bref, vous saisissez!!)
La semaine passée, j'ai vu sur Facebook les nouveaux mots d'excuse des parents provenant d'un article de Marianne. Des parents français (faut-il le noter!) qui écrivent aux professeurs de leurs enfants.
Excellent.
Il y en a des absolument charmantes et surtout des totalement imparfaites. Parmi mes meilleures - celles que j'aurais aimé avoir écrites:
William n’est pas venu à l’école hier parce qu’il a fait grève. Chacun son tour. (Et vlan!)
Madame,
Je m'excuse pour le retard a Tatiana parce que hier matin avec les gosses qui gueulaient et le chien qui dégueulait, c'était carrément le bordel a la maison.
(La vérité toute crue! Pas de fausses excuses: chapeau!)
Madame,
Si on brossait au savon de Marseille la bouche de tous ceux qui disent des gros mots et insultent ma fille, ça sentirait bon dans votre classe ! Merci de m'avoir lu et au revoir.
Madame,
J'ai le regret de vous informer que vous n'êtes plus la seule pédagogue de la classe, et que vous êtes moins efficace pour transmettre votre savoir qu'un de vos élèves, à savoir Jules Durand. Depuis le début de l'année, grâce à ce camarade aimable et prévenant, mon fils a en effet bien enrichi son vocabulaire en termes de grossièretés. Les meilleures choses ayant une fin, j'aimerais que vous mettiez un terme à la vocation professorale de ce triste individu. Avec tous mes remerciements.
Madame,
Vous voulez que j'achète la photo de classe de ma fille ? Non mais vous avez vu la tête des autres ? Alors c'est non merci ! Cordialement.
Madame,
Franchement que Yannick est D en musique on sans fout. Il sera jamais un Picasso et alors ? (On comprend l'idée, encore faut-il savoir de quoi et de qui on parle...)
Avouez qu'il y en a d'excellentes. Et dire qu'il y a un livre qui en compile plein d'autres. Je le mets sur ma liste de cadeaux.
La semaine passée, j'ai vu sur Facebook les nouveaux mots d'excuse des parents provenant d'un article de Marianne. Des parents français (faut-il le noter!) qui écrivent aux professeurs de leurs enfants.
Excellent.
Il y en a des absolument charmantes et surtout des totalement imparfaites. Parmi mes meilleures - celles que j'aurais aimé avoir écrites:
William n’est pas venu à l’école hier parce qu’il a fait grève. Chacun son tour. (Et vlan!)
Madame,
Je m'excuse pour le retard a Tatiana parce que hier matin avec les gosses qui gueulaient et le chien qui dégueulait, c'était carrément le bordel a la maison.
(La vérité toute crue! Pas de fausses excuses: chapeau!)
Madame,
Si on brossait au savon de Marseille la bouche de tous ceux qui disent des gros mots et insultent ma fille, ça sentirait bon dans votre classe ! Merci de m'avoir lu et au revoir.
Madame,
J'ai le regret de vous informer que vous n'êtes plus la seule pédagogue de la classe, et que vous êtes moins efficace pour transmettre votre savoir qu'un de vos élèves, à savoir Jules Durand. Depuis le début de l'année, grâce à ce camarade aimable et prévenant, mon fils a en effet bien enrichi son vocabulaire en termes de grossièretés. Les meilleures choses ayant une fin, j'aimerais que vous mettiez un terme à la vocation professorale de ce triste individu. Avec tous mes remerciements.
Madame,
Vous voulez que j'achète la photo de classe de ma fille ? Non mais vous avez vu la tête des autres ? Alors c'est non merci ! Cordialement.
Madame,
Franchement que Yannick est D en musique on sans fout. Il sera jamais un Picasso et alors ? (On comprend l'idée, encore faut-il savoir de quoi et de qui on parle...)
Avouez qu'il y en a d'excellentes. Et dire qu'il y a un livre qui en compile plein d'autres. Je le mets sur ma liste de cadeaux.
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(Z)approuvé,
Échos d'école,
Plai(Z)irs,
Vraiment trop imparfaite
mercredi 13 novembre 2013
Pratiquez-vous l'éducation inversée?
Je ne sais pas si c'est l'âge de mes enfants ou l'arrivée certaine et imminente de l'adolescence, mais je pratique de plus en plus l'éducation inversée (C'est mon terme inventé! Ne cherchez pas sa réelle signification!).
Vous ne savez pas ce que c'est... Et bien voilà! Quand je vois d'autres enfants que les miens faire des niaiseries ou des trucs que je ne tolèrerais pas, j'en profite pour passer le message à mes enfants. Pas juste «passer le message»: souligner le message. À gros trait. Avec un marqueur fluo.
Dernièrement, on en a vu des pas pires dans la rue chez nous. Bon, il y a le classique «Je fais du skate en plein milieu de la rue question de ne laisser aucune voiture passer de chaque côté AVEC des écouteurs sur la tête».
Il y a aussi le groupe de copines qui s'assoit sur le trottoir, les jambes bien étendues dans la rue, et qui choisissent comme «spot» le coin d'une rue et possiblement même cachée par une voiture stationnée. Comme conducteur, j'ai toujours la frousse quand je les vois !
Mais l'exemple suprême: on a vu des ados se diriger vers leur coin d'autobus et qui crachait systématiquement sur toutes les poignées des poubelles alignées au bord du chemin en ce jour des vidanges. En riant, bien sûr! Hahah! Quelqu'un va se mettre la main dessus! Je ne sais pas comment je peux trouver ça épais. Cependant, j'en ai profité pour appliquer le seul principe de l'éducation inversée qui tient en un seul mot: JAMAIS.
Je veux simplement ne JAMAIS les pogner en train de faire ça. J'aimerais vraiment qu'ils ne pensent JAMAIS à le faire eux-mêmes. Ou que JAMAIS ils ne suivraient leur petite gang dans ce genre de niaiseries.
Vous ne savez pas ce que c'est... Et bien voilà! Quand je vois d'autres enfants que les miens faire des niaiseries ou des trucs que je ne tolèrerais pas, j'en profite pour passer le message à mes enfants. Pas juste «passer le message»: souligner le message. À gros trait. Avec un marqueur fluo.
Dernièrement, on en a vu des pas pires dans la rue chez nous. Bon, il y a le classique «Je fais du skate en plein milieu de la rue question de ne laisser aucune voiture passer de chaque côté AVEC des écouteurs sur la tête».
Il y a aussi le groupe de copines qui s'assoit sur le trottoir, les jambes bien étendues dans la rue, et qui choisissent comme «spot» le coin d'une rue et possiblement même cachée par une voiture stationnée. Comme conducteur, j'ai toujours la frousse quand je les vois !
Mais l'exemple suprême: on a vu des ados se diriger vers leur coin d'autobus et qui crachait systématiquement sur toutes les poignées des poubelles alignées au bord du chemin en ce jour des vidanges. En riant, bien sûr! Hahah! Quelqu'un va se mettre la main dessus! Je ne sais pas comment je peux trouver ça épais. Cependant, j'en ai profité pour appliquer le seul principe de l'éducation inversée qui tient en un seul mot: JAMAIS.
Je veux simplement ne JAMAIS les pogner en train de faire ça. J'aimerais vraiment qu'ils ne pensent JAMAIS à le faire eux-mêmes. Ou que JAMAIS ils ne suivraient leur petite gang dans ce genre de niaiseries.
Et vous, quels sont les trucs que vous avez vu et pour lesquels vous vous êtes dit «Je ne veux jamais pogner mes enfants en train de faire ça!»
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Petits (z)imparfaits
lundi 11 novembre 2013
Une famille pour Noël
C'est bientôt Noël -du moins ça l'est déjà à l'épicerie et dans tout bon magasin qui veut profiter de la manne festive- et une belle histoire, ça fait toujours du bien.
Peut-être avez-vous entendu parler de Davion Only. Cet ado de 15 ans, né en prison d'une mère toxicomane et qui a passé sa vie à l'orphelinat, s'est retrouvé dans les médias après avoir fait une déchirante demande d'adoption un dimanche à l'église.
Déterminé à trouver une famille après la décès de sa mère biologique, qui n'avait jamais pris soin de lui, le jeune homme a contacté le journal de Tampa Bay qui l'a suivi à l'église et qui a publié son histoire. La nouvelle est devenue virale en quelques heures, avec plus de 20 000 partages sur Facebook et Twitter. Son plaidoyer a touché le coeur de millions de personnes à travers le monde, si bien que 10 000 personnes se sont manifestées pour l'adopter. De ce nombre, 100 propositions sérieuses ont été retenues et, ce nombre sera réduit à 10 d'ici la fin du mois.
Alors qu'il y a à peine un mois, le jeune homme était désespéré de trouver une famille adoptive, il pourra choisir parmi 10 familles celle qu'il intégrera fort probablement d'ici Noël, réalisant ainsi son plus grand souhait. Le jeune homme a fait le tour des talk-shows américains, suscitant une visibilité sans précédent aux 10 000 enfants à la recherche de parents aux États-Unis. À Barbara Walters qui lui demandait de décrire sa famille idéale, il a répondu: ''n'importe quelle famille qui voudra m'aimer''.
Une histoire comme celle-là me réconcilie avec le genre humain, surtout quand d'autres histoires, aux antipodes de la bonté, parviennent jusqu'à nous.
Rappelez-vous cette mère américaine qui, en 2010, avait remis dans un avion pour Moscou le garçon russe alors âgé de 7 ans qu'elle avait adopté, accompagné d'une lettre indiquant, sans émotion, qu'elle ne souhaitait plus être sa mère adoptive. Le paquet ne lui convenait plus alors elle retournait à l'expéditeur, ni plus ni moins. Elle a finalement dû verser 150 000$ pour soutenir l'enfant qu'elle avait officiellement adopté... et rejeté.
Peut-être avez-vous entendu parler de Davion Only. Cet ado de 15 ans, né en prison d'une mère toxicomane et qui a passé sa vie à l'orphelinat, s'est retrouvé dans les médias après avoir fait une déchirante demande d'adoption un dimanche à l'église.
Déterminé à trouver une famille après la décès de sa mère biologique, qui n'avait jamais pris soin de lui, le jeune homme a contacté le journal de Tampa Bay qui l'a suivi à l'église et qui a publié son histoire. La nouvelle est devenue virale en quelques heures, avec plus de 20 000 partages sur Facebook et Twitter. Son plaidoyer a touché le coeur de millions de personnes à travers le monde, si bien que 10 000 personnes se sont manifestées pour l'adopter. De ce nombre, 100 propositions sérieuses ont été retenues et, ce nombre sera réduit à 10 d'ici la fin du mois.
Alors qu'il y a à peine un mois, le jeune homme était désespéré de trouver une famille adoptive, il pourra choisir parmi 10 familles celle qu'il intégrera fort probablement d'ici Noël, réalisant ainsi son plus grand souhait. Le jeune homme a fait le tour des talk-shows américains, suscitant une visibilité sans précédent aux 10 000 enfants à la recherche de parents aux États-Unis. À Barbara Walters qui lui demandait de décrire sa famille idéale, il a répondu: ''n'importe quelle famille qui voudra m'aimer''.
Une histoire comme celle-là me réconcilie avec le genre humain, surtout quand d'autres histoires, aux antipodes de la bonté, parviennent jusqu'à nous.
Rappelez-vous cette mère américaine qui, en 2010, avait remis dans un avion pour Moscou le garçon russe alors âgé de 7 ans qu'elle avait adopté, accompagné d'une lettre indiquant, sans émotion, qu'elle ne souhaitait plus être sa mère adoptive. Le paquet ne lui convenait plus alors elle retournait à l'expéditeur, ni plus ni moins. Elle a finalement dû verser 150 000$ pour soutenir l'enfant qu'elle avait officiellement adopté... et rejeté.
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Petits bonheurs
vendredi 8 novembre 2013
Un effort de plus... moins la chance!
Ces temps-ci, MissLulus apprend l'effort, l'incapacité de toujours gagner (ou réussir), les comparaisons, les mesquineries, l'échec et la chance. Ce ne sont pas des compétences transversales au programme de la cinquième année, mais ça vient avec! Et c'est bien correct ainsi!
Un moment donné, ça ne donne plus rien de les épargner et leur faire croire qu'on vit dans un monde de Calinours (en fait, je me demande si on les aide quand on leur fait miroiter ce monde-là!).
Oui, il y a une infime partie de trucs qui nous arrivent qui sont reliés à la chance.
Non, ce n'est pas juste.
Oui, on doit mettre des efforts. Souvent, beaucoup!
Non, ce n'est pas facile.
Oui, il faut faire des choix.
Non, ce n'est pas toujours l'fun.
Oui, on peut perdre pareil.
Non, ce n'est pas la fin du monde.
Oui, on continue.
Non, on ne baisse pas les bras.
Oui, on dérange les autres.
Non, on ne peut pas plaire à tout le monde.
Oui, certains vont dire des trucs pas fins à ton égard.
Non, tu n'en mourras pas.
Oui, ça fait de la peine.
Non, tu n'es pas obligé de répondre.
Oui, tu continues.
Non, tu n'arrêtes pas.
Oui, c'est difficile/ça demande du temps.
Non, c'est pas évident.
Oui, il y en a qui jalouse.
Non, ça ne devrait pas t'arrêter.
Oui, il y a du monde qui te tape sur les nerfs.
Non, tu ne peux pas les éliminer complètement de ta vie.
Oui, tu dois trouver le moyen de travailler avec eux, parfois.
Non, tu n'abandonneras pas.
Oui, tu vas foncer.
Non, tu n'es pas chanceuse.
Oui, tu travailles pour ce que tu as.
Non, tu te décourageras pas.
Oui, tu peux oser.
Non, se tromper, c'est pas grave!
Oui, tu choisis parce que... oui, c'est ta vie.
Finie l'enfance rose bonbon et l'illusion que le monde est parfait. C'est le choc avec la vraie vie. Je le vois dans ses grands yeux de préados. Elle se questionne beaucoup. Mais à travers tout ça, j'essayais de trouver ce qui valait vraiment la peine qu'elle retienne de tout ce passage. Je ne veux pas qu'elle entrevoit la vie d'adultes comme étant plate et difficile. Mais en même temps, ce serait faux de lui faire croire que tout est beau. Chigner en regardant la vie des autres sans rien faire n'a jamais rien donné!
Finalement, j'ai opté pour lui dire un peu tout ça, en haut, en insistant, surtout, sur le fait que c'est elle qui a le choix final. Mais qu'elle ne compte pas sur la chance. Sinon, elle peut attendre longtemps. Il y a encore beaucoup d'adultes qui attendent que le bonheur leur tombe dessus sans effort.
Et vous, que faites-vous pour apprendre la vraie vie d'adultes à vos enfants?
Un moment donné, ça ne donne plus rien de les épargner et leur faire croire qu'on vit dans un monde de Calinours (en fait, je me demande si on les aide quand on leur fait miroiter ce monde-là!).
Oui, il y a une infime partie de trucs qui nous arrivent qui sont reliés à la chance.
Non, ce n'est pas juste.
Oui, on doit mettre des efforts. Souvent, beaucoup!
Non, ce n'est pas facile.
Oui, il faut faire des choix.
Non, ce n'est pas toujours l'fun.
Oui, on peut perdre pareil.
Non, ce n'est pas la fin du monde.
Oui, on continue.
Non, on ne baisse pas les bras.
Oui, on dérange les autres.
Non, on ne peut pas plaire à tout le monde.
Oui, certains vont dire des trucs pas fins à ton égard.
Non, tu n'en mourras pas.
Oui, ça fait de la peine.
Non, tu n'es pas obligé de répondre.
Oui, tu continues.
Non, tu n'arrêtes pas.
Oui, c'est difficile/ça demande du temps.
Non, c'est pas évident.
Oui, il y en a qui jalouse.
Non, ça ne devrait pas t'arrêter.
Oui, il y a du monde qui te tape sur les nerfs.
Non, tu ne peux pas les éliminer complètement de ta vie.
Oui, tu dois trouver le moyen de travailler avec eux, parfois.
Non, tu n'abandonneras pas.
Oui, tu vas foncer.
Non, tu n'es pas chanceuse.
Oui, tu travailles pour ce que tu as.
Non, tu te décourageras pas.
Oui, tu peux oser.
Non, se tromper, c'est pas grave!
Oui, tu choisis parce que... oui, c'est ta vie.
Finie l'enfance rose bonbon et l'illusion que le monde est parfait. C'est le choc avec la vraie vie. Je le vois dans ses grands yeux de préados. Elle se questionne beaucoup. Mais à travers tout ça, j'essayais de trouver ce qui valait vraiment la peine qu'elle retienne de tout ce passage. Je ne veux pas qu'elle entrevoit la vie d'adultes comme étant plate et difficile. Mais en même temps, ce serait faux de lui faire croire que tout est beau. Chigner en regardant la vie des autres sans rien faire n'a jamais rien donné!
Finalement, j'ai opté pour lui dire un peu tout ça, en haut, en insistant, surtout, sur le fait que c'est elle qui a le choix final. Mais qu'elle ne compte pas sur la chance. Sinon, elle peut attendre longtemps. Il y a encore beaucoup d'adultes qui attendent que le bonheur leur tombe dessus sans effort.
Et vous, que faites-vous pour apprendre la vraie vie d'adultes à vos enfants?
mercredi 6 novembre 2013
Une mère: parfois l'ennemie de son bébé?
Attention! La vidéo de la Société du cancer de Finlande - tel que vu à Vlog - donne froid dans le dos.
Est-ce qu'une mère peut réellement être l'ennemie de son bébé? Est-ce que dès qu'on déroge de la ligne générale, on est tout de suite étiquetée comme «mauvaise mère» ou jugée comme «ennemie de notre bébé»?
Est-ce que vous avez fumé, enceinte, et avez perçu qu'on vous jugeait?
Une mère qui fume.
Une mère qui boit.
Une mère qui n'allaite pas.
Une mère qui prend des médicaments.
C'est dangereux? Déplacé? Irresponsable? Inconscient?
Y'en a un pire que l'autre?
Qu'en pensez-vous?
Est-ce qu'une mère peut réellement être l'ennemie de son bébé? Est-ce que dès qu'on déroge de la ligne générale, on est tout de suite étiquetée comme «mauvaise mère» ou jugée comme «ennemie de notre bébé»?
Est-ce que vous avez fumé, enceinte, et avez perçu qu'on vous jugeait?
Une mère qui fume.
Une mère qui boit.
Une mère qui n'allaite pas.
Une mère qui prend des médicaments.
C'est dangereux? Déplacé? Irresponsable? Inconscient?
Y'en a un pire que l'autre?
Qu'en pensez-vous?
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lundi 4 novembre 2013
Pas touche à ma bedaine!
Combien de personnes (inconnues ou non) ont touché votre ventre de femme enceinte sans vous demander votre avis?
Incalculable?
Ou vous avez eu assez de boutons de grossesse pour rebuter les indésirables? (je blague mais... bon plan!!)
Eh bien, plus besoin de craindre les touchers de bedaine non désirés en Pennsylvanie où on vient de passer une loi rendant illégal le fait de toucher un ventre de femme enceinte sans permission. Sans blague!
À ceux qui pensent encore que «ça ne nous dérange pas», c'est la preuve! (bon, c'est peut-être un peu exagéré... mais ça enlève le goût!)
Bon, maintenant, à quand une loi interdisant aux personnes âgées de bécoter les bébés dans les poussettes?
Vous avez d'autres projets de lois en tête?
Incalculable?
Ou vous avez eu assez de boutons de grossesse pour rebuter les indésirables? (je blague mais... bon plan!!)
Eh bien, plus besoin de craindre les touchers de bedaine non désirés en Pennsylvanie où on vient de passer une loi rendant illégal le fait de toucher un ventre de femme enceinte sans permission. Sans blague!
À ceux qui pensent encore que «ça ne nous dérange pas», c'est la preuve! (bon, c'est peut-être un peu exagéré... mais ça enlève le goût!)
Bon, maintenant, à quand une loi interdisant aux personnes âgées de bécoter les bébés dans les poussettes?
Vous avez d'autres projets de lois en tête?
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vendredi 1 novembre 2013
Profiteur ou astucieux?
Bon! L'Halloween est passée! Vous avez survécu?
Et qu'avez-vous trouvé dans les sacs de récolte de vos enfants?
Voici les "découvertes" étranges. Vous trouvez que c'est profiteur ou astucieux de donner des cartes d'affaires, des produits ou des offres dans le sac des enfants?
On a hâte de vous entendre.
Source: Salut, Bonjour!
D'autres choses trouvées, vous pouvez les lire sur le Facebook de Salut, Bonjour!. Mais on aimerait aussi voir ou lire vos découvertes.
Et qu'avez-vous trouvé dans les sacs de récolte de vos enfants?
Voici les "découvertes" étranges. Vous trouvez que c'est profiteur ou astucieux de donner des cartes d'affaires, des produits ou des offres dans le sac des enfants?
On a hâte de vous entendre.
Source: Salut, Bonjour!
Source: Salut, Bonjour!
Source: une lectrice
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