N'oubliez pas qu'en collaboration avec Church & Dwight Canada et Spinbrush Spider-Man 4, on vous donne la chance d’aller voir en famille le tout nouveau film Spider-Man en 3D!!
Courez la chance de gagner un panier-cadeau d’une valeur de 95$ qui comprend:
- Des billets de Cinéma Cineplex (2 adultes, 2 enfants) pour aller voir Spider-Man en 3D
- Une brosse à dents Spinbrush à l’effigie de Spider-Man
- Une brosse à dents Spinbrush À MOI! pour filles
- Du dentifrice en gel anticarie au fluorure Orajel À MOI!
-
Des jouets Spider-Man pour vos enfants, dont un casse-tête, un livre à
colorier, des bandes dessinées et une figurine articulée
- Du maïs soufflé, un bol, et des friandises pour le visionnement du film
Pour participer, dites-nous quel super pouvoir vous aimeriez avoir et envoyez-nous votre réponse ET vos coordonnées postales complètes par courriel avant le 1er juillet à 23h59.
Les gagnants seront annoncés le lundi 2 juillet sur le blogue.
samedi 30 juin 2012
vendredi 29 juin 2012
La génération qui n'attend pas...
Bon, ça ne sera pas gentil, je vous le dis tout de suite.
Les enfants qui ne savent pas attendre m'énervent.
C'est quoi de vouloir tout dans la seconde précise? De ne pas supporter attendre son tour? De soupirer exagérément comme si le destin du monde entier en dépendait quand on attend 30 minutes pour un manège à La Ronde? De ne pas tolérer qu'un autre puisse avoir quelque chose avant lui? De trouver que c'est looooong au restaurant et de vouloir grimper sur sa chaise ou s'y tortiller comme un ver à chou?
J'ai été bénévole en maternelle cette année et cette non-capacité à attendre m'a frappé de plein fouet.
«Madame, c'est moiiiiiiii qui commence!» (énoncé évidemment dit par 4 enfants en même temps!)
«J'étais là en premier!» (dit par un autre qui est arrivé une micro-seconde avant l'autre!)
«Moi, j'en ai pas eu de lait!» («Je le sais, jeunefille, mais moi j'ai juste deux mains!)
«C'est pas juste, je commence jamais! C'est trop plate!» (dit par les 3 enfants qui n'ont pas commencé dans le premier énoncé!).
«Tu as servi UnTel en premier. Il avait déjà eu son lait avant moi!» («Euhhhh? Tu as le temps de remarquer tout cela!?»)
Ça m'épuise. Vraiment.
Est-ce qu'il faut apprendre à nos enfants à attendre? Comme on leur apprend à être poli (habituellement, un enfant qui n'attend pas n'est pas non plus le plus poli, mais je m'égare un peu...)? On attend toujours dans la vie. Toujours. Trop souvent. Bien sûr, c'est plate. Y'a une tonne de choses plates dans la vie et pour lesquelles on est obligé de dealer. Personne n'aime attendre. Mais on ne peut pas leur faire croire que ce sera toujours eux en premier et qu'ils n'attendront jamais. C'est la vie, aussi. Non?
Les enfants qui ne savent pas attendre m'énervent.
C'est quoi de vouloir tout dans la seconde précise? De ne pas supporter attendre son tour? De soupirer exagérément comme si le destin du monde entier en dépendait quand on attend 30 minutes pour un manège à La Ronde? De ne pas tolérer qu'un autre puisse avoir quelque chose avant lui? De trouver que c'est looooong au restaurant et de vouloir grimper sur sa chaise ou s'y tortiller comme un ver à chou?
J'ai été bénévole en maternelle cette année et cette non-capacité à attendre m'a frappé de plein fouet.
«Madame, c'est moiiiiiiii qui commence!» (énoncé évidemment dit par 4 enfants en même temps!)
«J'étais là en premier!» (dit par un autre qui est arrivé une micro-seconde avant l'autre!)
«Moi, j'en ai pas eu de lait!» («Je le sais, jeunefille, mais moi j'ai juste deux mains!)
«C'est pas juste, je commence jamais! C'est trop plate!» (dit par les 3 enfants qui n'ont pas commencé dans le premier énoncé!).
«Tu as servi UnTel en premier. Il avait déjà eu son lait avant moi!» («Euhhhh? Tu as le temps de remarquer tout cela!?»)
Ça m'épuise. Vraiment.
Est-ce qu'il faut apprendre à nos enfants à attendre? Comme on leur apprend à être poli (habituellement, un enfant qui n'attend pas n'est pas non plus le plus poli, mais je m'égare un peu...)? On attend toujours dans la vie. Toujours. Trop souvent. Bien sûr, c'est plate. Y'a une tonne de choses plates dans la vie et pour lesquelles on est obligé de dealer. Personne n'aime attendre. Mais on ne peut pas leur faire croire que ce sera toujours eux en premier et qu'ils n'attendront jamais. C'est la vie, aussi. Non?
mercredi 27 juin 2012
Pause (Z) du mercredi - semaine 1
(Cet été, tous les mercredis, on prend ça relax nous aussi! Mais on ne vous oublie pas. Alors voici des clins d'oeil de mi-semaine pour vous faire sourire. On attend vos suggestions ou vos commentaires.)
Libellés :
N'importe quoi
mardi 26 juin 2012
Concours - Super héros à la rescousse!
L’été est là! On peut se féliciter d’avoir passé à travers toute cette année malgré les (nombreux) lunchs, les (indésirés) virus (gastro, varicelle et rhumes persistants!), les (*%?&$?*&) de devoirs et autres. Parfois, on rêve... Et si on pouvait se créer des super héros sur mesure pour nous aider au quotidien, la belle idée, toi!
En collaboration avec Church & Dwight Canada et Spinbrush Spider-Man 4, on vous donne la chance d’aller voir en famille le tout nouveau film Spider-Man en 3D. Si on ne peut pas réellement avoir des pouvoirs, on peut toujours se rabattre sur des produits qui nous aident. La brosse à dents Spinbrush en est un! Parce qu’elle est cool et à l’effigie de Spider-Man, nos petits superhéros rouspètent moins quand vient le temps de se brosser les dents (Spider-Man le fait aussi!!) et pour nos enfants plus artistiques, on leur offre une brosse à dents Spinbrush À MOI! qu’ils peuvent décorer à leur goût.
Courez la chance de gagner un panier-cadeau d’une valeur de 95$ qui comprend:
- Des billets de Cinéma Cineplex (2 adultes, 2 enfants) pour aller voir Spider-Man en 3D
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- Des jouets Spider-Man pour vos enfants, dont un casse-tête, un livre à colorier, des bandes dessinées et une figurine articulée
- Du maïs soufflé, un bol, et des friandises pour le visionnement du film
Pour participer, dites-nous quel super pouvoir vous aimeriez avoir et envoyez-nous votre réponse ET vos coordonnées postales complètes par courriel avant le 1er juillet à 23h59. Les gagnants seront annoncés le lundi 2 juillet sur le blogue.
En collaboration avec Church & Dwight Canada et Spinbrush Spider-Man 4, on vous donne la chance d’aller voir en famille le tout nouveau film Spider-Man en 3D. Si on ne peut pas réellement avoir des pouvoirs, on peut toujours se rabattre sur des produits qui nous aident. La brosse à dents Spinbrush en est un! Parce qu’elle est cool et à l’effigie de Spider-Man, nos petits superhéros rouspètent moins quand vient le temps de se brosser les dents (Spider-Man le fait aussi!!) et pour nos enfants plus artistiques, on leur offre une brosse à dents Spinbrush À MOI! qu’ils peuvent décorer à leur goût.
Courez la chance de gagner un panier-cadeau d’une valeur de 95$ qui comprend:
- Des billets de Cinéma Cineplex (2 adultes, 2 enfants) pour aller voir Spider-Man en 3D
- Une brosse à dents Spinbrush à l’effigie de Spider-Man
- Une brosse à dents Spinbrush À MOI! pour filles
- Du dentifrice en gel anticarie au fluorure Orajel À MOI!
- Des jouets Spider-Man pour vos enfants, dont un casse-tête, un livre à colorier, des bandes dessinées et une figurine articulée
- Du maïs soufflé, un bol, et des friandises pour le visionnement du film
Pour participer, dites-nous quel super pouvoir vous aimeriez avoir et envoyez-nous votre réponse ET vos coordonnées postales complètes par courriel avant le 1er juillet à 23h59. Les gagnants seront annoncés le lundi 2 juillet sur le blogue.
lundi 25 juin 2012
S'ennuyer?
Une semaine sur deux, je m'ennuie.
Eux, non. Ou pas tellement.
Comme moi, ils n'aiment pas trop les départs. Les journées où ils partent chez leur papa, je les sens plus émotifs, plus susceptibles, plus fébriles. Je suis pareille. On ne s'habitue pas. Parfois, ça s'atténue un peu (après une dure semaine, des fois, on a tous envie de changer un peu d'air!), mais habituellement c'est toujours ainsi.
Puis, ensuite ils partent. Vivre leur vie. Et moi, je continue la mienne. J'ai souvent eu peur qu'ils s'ennuient. Mais non, ils sont ok. Et ça me conforte. Quand je les appelle, ils n'ont pas beaucoup de temps pour me parler. Une émission de télé, un jeu, leur souper ou un ami les attend. Ils ont peu de mots. Pas de grands jaseurs au téléphone autant avec moi qu'avec leur père. Si on ne les appelait pas dans la semaine chez l'autre, ils ne nous appelleraient pas, je crois. La transition, ils n'aiment pas. Mais une fois rendu, ils sont ok. Je sais que je dois m'en réjouir. Je le fais. Mais bien égoïstement, des fois, j'aimerais qu'ils appellent, qu'ils aient plus envie de me parler, etc. Je me raisonne immédiatement (pas d'inquiétude, je ne me lamente pas à eux ainsi!) et me dis que si c'était le contraire, je serais bien plus malheureuse. Là, je sais que mes enfants sont bien partout. Surtout, ils ne sont pas malheureux. Ohh non! Je ne leur dis pas que «Je me suis ennuyée de vous!». Je dis plutôt que «J'ai pensé à vous» ou que «Je suis contente de vous revoir!». Ils savent que je pense à eux tout en continuant à faire des trucs, à vivre ma vie. Je pense que pour eux aussi, c'est réconfortant. Ça ne m'empêche pas de profiter de ma semaine sans eux. Je ne vis pas dans l'attente du retour. je ne mets pas ma vie sur pause. Mais en m'autorisant à le dire (à moi et autour de moi), je vis mieux. Je ne fais pas semblant.
Peut-être qu'on s'ennuie chacun de notre côté, sans vouloir le montrer pour ne pas faire de peine à l'autre. Je ne sais pas. On se protège peut-être les trois à la fois. C'est ça aussi, l'amour, je pense.
Cette semaine, je suis partie dans un chalet seule avec mon amoureux. Mes enfants sont bien. Je le suis aussi. Et entre tout ça, je m'ennuie un peu. Ok: beaucoup. C'est ça aussi être (Z)imparfaite. J'imagine que le jour où ça ne te dérange plus du tout, c'est que quelque chose est brisé. Alors oui, je le dis, mais juste à vous: je m'ennuie.
Eux, non. Ou pas tellement.
Comme moi, ils n'aiment pas trop les départs. Les journées où ils partent chez leur papa, je les sens plus émotifs, plus susceptibles, plus fébriles. Je suis pareille. On ne s'habitue pas. Parfois, ça s'atténue un peu (après une dure semaine, des fois, on a tous envie de changer un peu d'air!), mais habituellement c'est toujours ainsi.
Puis, ensuite ils partent. Vivre leur vie. Et moi, je continue la mienne. J'ai souvent eu peur qu'ils s'ennuient. Mais non, ils sont ok. Et ça me conforte. Quand je les appelle, ils n'ont pas beaucoup de temps pour me parler. Une émission de télé, un jeu, leur souper ou un ami les attend. Ils ont peu de mots. Pas de grands jaseurs au téléphone autant avec moi qu'avec leur père. Si on ne les appelait pas dans la semaine chez l'autre, ils ne nous appelleraient pas, je crois. La transition, ils n'aiment pas. Mais une fois rendu, ils sont ok. Je sais que je dois m'en réjouir. Je le fais. Mais bien égoïstement, des fois, j'aimerais qu'ils appellent, qu'ils aient plus envie de me parler, etc. Je me raisonne immédiatement (pas d'inquiétude, je ne me lamente pas à eux ainsi!) et me dis que si c'était le contraire, je serais bien plus malheureuse. Là, je sais que mes enfants sont bien partout. Surtout, ils ne sont pas malheureux. Ohh non! Je ne leur dis pas que «Je me suis ennuyée de vous!». Je dis plutôt que «J'ai pensé à vous» ou que «Je suis contente de vous revoir!». Ils savent que je pense à eux tout en continuant à faire des trucs, à vivre ma vie. Je pense que pour eux aussi, c'est réconfortant. Ça ne m'empêche pas de profiter de ma semaine sans eux. Je ne vis pas dans l'attente du retour. je ne mets pas ma vie sur pause. Mais en m'autorisant à le dire (à moi et autour de moi), je vis mieux. Je ne fais pas semblant.
Peut-être qu'on s'ennuie chacun de notre côté, sans vouloir le montrer pour ne pas faire de peine à l'autre. Je ne sais pas. On se protège peut-être les trois à la fois. C'est ça aussi, l'amour, je pense.
Cette semaine, je suis partie dans un chalet seule avec mon amoureux. Mes enfants sont bien. Je le suis aussi. Et entre tout ça, je m'ennuie un peu. Ok: beaucoup. C'est ça aussi être (Z)imparfaite. J'imagine que le jour où ça ne te dérange plus du tout, c'est que quelque chose est brisé. Alors oui, je le dis, mais juste à vous: je m'ennuie.
Libellés :
Angoisses maternelles,
Enjeux maternels,
Petits (z)imparfaits
Concours «Quand est-ce qu'on arrive?»: les gagnantes!
Et les trois chanceuses qui pourront partir sur la route des vacances sans la menace d'un mal de coeur sont:
Marie-Lou Turenne, de McMasterville
Johanna Tomas, de Laval
Jacinthe Turmel, de Repentigny
Elle recevront chacune un duo glacière (34 litres) et cruche (1,9 litre) Coleman!
Vos réponses -toujours géniales!- à nos concours seront publiées au cours de l'été!
Avis aux parents de mini-super héros: gardez l'oeil sur le blogue pour le prochain concours!
samedi 23 juin 2012
Concours Gravol - Rappel!
L'été est arrivé, on oublie tout!
Mais ce n'est pas une raison d'oublier concours GRAVOL® Gingembre de source naturelle!
Pour participer, rien de plus facile, on veut lire vos pires souvenirs de vacances (sur la route ou non!). Envoyez-nous une péripétie familiale mémorable ET vos coordonnées complètes par courriel avant le 24 juin à 23h59 et courez la chande de gagner l'un des TROIS duos de glacière (34 litres) et cruche (1,9 litre) Coleman, juste à temps pour vos pique-niques estivaux!
Les gagnantes seront annoncées le matin du 25 juin sur le blogue.
Les GRAVOL® Gingembre de source naturelle s’utilisent sans eau (pratiiiiiiiiique!) et leur goût est agréable (oui, oui, on les a testées!). Elles procurent un soulagement efficace rapidement (on ne demande que ça!) et sont sans somnolence (pratique pour le chauffeur!). Toute la famille peut les utiliser, dès l’âge de six ans!
vendredi 22 juin 2012
Les règles d'un été totalement (Z)
1. Faire provision de rosés.
2. Aussi de rouge et de blancs. Et de Boris au thé glacé.
3. Laisser le cooler toujours proche et un sac de glace dans le congélo.
4. 70 Mr Freeze pour environ 10$ : c’est comme avoir de pauses pleines de silence en banque dans le congélo.
5. Acheter du démêlant à cheveux : ça nous donne l’illusion de laver les cheveux aux enfants après 4 jours de baignade intensive.
6. Dès la fin de l’école, donner trois cours aux enfants : 1) se mettre de la crème solaire tout seul 2) se faire à déjeuner tout seul 3) s’occuper tout seul
7. Faire une looooooooooongue liste de choses (plates!) que vous ferez faire aux enfants si jamais vous entendez « Je ne sais pas quoi faire! » ou « C’est plate! ». Et la sortir chaque fois que vous entendez les phrases proscrites.
8. Imaginer un ami fictif qui n’a ni amis, ni piscine, ni vélo, ni jeux extérieurs, ni popsicle, ni parents qui lui font de la bouffe ou qui le sortent, ni télé, ni jeux vidéo, ni trottinette, etc. Si les enfants se plaignent trop, on leur suggère d’aller vivre une semaine chez cet ami.
9. Rien faire, c’est faire quelque chose. Surtout en été. Le faire comprendre aux enfants.
10. Préparer des répliques du genre « Souris ou je t’inscris à un camp de vacances d’airs bêtes!»
11. Faire comprendre les sous-entendus. Si je dis « On va se baigner à la piscine municipale.», ça peut vouloir dire «Je vais lire à la piscine municipale pendant que vous vous baignez dans l’eau froide, chlorée et bondée sans même que je me trempe les pieds.» Ça se peut. Pis c’est comme cela.
12. Faire signer aux enfants La loi de maman – été 2012 par Mylen Vigneault dasn son excellent billet sur Yoopa.
D'autres règles à ajouter?
mercredi 20 juin 2012
C'est finiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!
OH YEAH! TROP NICE!!!!!!!!! FULL COOL!!!!!
L'école est (presque) finie!!!!
Y'a pas à dire, vient un temps (tout le mois de juin?) où il faut se censurer comme parent afin de garder le moral des troupes jusqu'à la fin de l'année.
À ce moment-ci, l'été est rempli de promesses, de projets, d'idées, de désirs et d'envies (mmmmmm... crème glacée!) Les rituels reviennent marquer un autre été qui s'annonce mémorable: les jujubes et les questions des Incollables en attendant les feux d'artifices, les feux dans le fond de la cour (habillés jusqu'au coup pour se protéger des moustiques), les journées complète dans la piscine, les valises bouclées pour les vacances qu'on tentent de faire entrer dans l'auto à 5h du matin sous l'oeil inquiet des enfants qui regardent par la fenêtre (et les applaudissements quand -miraculeusement!-, le ''burger'' sur le toit et la porte arrière se ferment enfin!), les repas dehors qui s'éternisent comme jamais dans l'année, les amis qui débarquent avec du rosé (-message-), les sorties à La Ronde qui nous amusent autant qu'elles nous épuisent...
À cela s'ajoutent tous les plaisirs simples que les enfants ont inscrit sur leur liste de souhaits estivale: faire un pique-nique sur le bord de l'eau, aller au cinéma en plein air, aller manger dans une cantine sur le bord de la route, aller le plus souvent possible à la crémerie, faire du vélo, aller voir un spectacle dans un festival... Et les moins « simples»: Parc Safari, Amazoo, Insectarium, visiter un village Iroquoïen (?!), aller nourrir des chèvres et toucher des animaux...
Bref, l'été s'annonce bien rempli. Et vous, qu'avez-vous au programme?
L'école est (presque) finie!!!!
Y'a pas à dire, vient un temps (tout le mois de juin?) où il faut se censurer comme parent afin de garder le moral des troupes jusqu'à la fin de l'année.
À ce moment-ci, l'été est rempli de promesses, de projets, d'idées, de désirs et d'envies (mmmmmm... crème glacée!) Les rituels reviennent marquer un autre été qui s'annonce mémorable: les jujubes et les questions des Incollables en attendant les feux d'artifices, les feux dans le fond de la cour (habillés jusqu'au coup pour se protéger des moustiques), les journées complète dans la piscine, les valises bouclées pour les vacances qu'on tentent de faire entrer dans l'auto à 5h du matin sous l'oeil inquiet des enfants qui regardent par la fenêtre (et les applaudissements quand -miraculeusement!-, le ''burger'' sur le toit et la porte arrière se ferment enfin!), les repas dehors qui s'éternisent comme jamais dans l'année, les amis qui débarquent avec du rosé (-message-), les sorties à La Ronde qui nous amusent autant qu'elles nous épuisent...
À cela s'ajoutent tous les plaisirs simples que les enfants ont inscrit sur leur liste de souhaits estivale: faire un pique-nique sur le bord de l'eau, aller au cinéma en plein air, aller manger dans une cantine sur le bord de la route, aller le plus souvent possible à la crémerie, faire du vélo, aller voir un spectacle dans un festival... Et les moins « simples»: Parc Safari, Amazoo, Insectarium, visiter un village Iroquoïen (?!), aller nourrir des chèvres et toucher des animaux...
Bref, l'été s'annonce bien rempli. Et vous, qu'avez-vous au programme?
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Bons plans,
Petits bonheurs,
Virées en famille
mardi 19 juin 2012
Concours : Quand est-ce qu’on arrive?
Enfiiiiiiiiiin les vacances!
Mais qui dit vacances, dit longs trajets en voiture et dit aussi enfants (et parents) parfois à boutte. Combien de fois par heure entendez-vous le célèbre « Quand est-ce qu’on arrive? ». Et ça, sans compter les « J’ai un peu mal au cœur » qui nécessite un arrêt rapido sur le bord de la route...
Pour pallier à ces désagréments, il existe deux choses.
D’abord les pastilles tendres GRAVOL® Gingembre de source naturelle, qui s’utilisent sans eau (pratiiiiiiiiique!) et dont le goût est agréable. Elles procurent un soulagement efficace rapidement (on ne demande que ça!) et sont sans somnolence (pratique pour le chauffeur!). Toute la famille peut les utiliser, dès l’âge de six ans!
Puis, il existe aussi les jeux qui divertissent les enfants et qui laissent les parents se débrouiller avec la carte routière ou le GPS...
Pour participer au concours Gravol, rien de plus facile, on veut lire vos pires souvenirs de vacances (sur la route ou non!). Envoyez-nous une péripétie familiale mémorable ET vos coordonnées complètes par courriel avant le 24 juin à 23h59 et courez la chande de gagner l'un des TROIS duos de glacière (34 litres) et cruche (1,9 litre) Coleman, juste à temps pour vos pique-niques estivaux!
Les gagnantes seront annoncées le matin du 25 juin sur le blogue.
Mais qui dit vacances, dit longs trajets en voiture et dit aussi enfants (et parents) parfois à boutte. Combien de fois par heure entendez-vous le célèbre « Quand est-ce qu’on arrive? ». Et ça, sans compter les « J’ai un peu mal au cœur » qui nécessite un arrêt rapido sur le bord de la route...
Pour pallier à ces désagréments, il existe deux choses.
D’abord les pastilles tendres GRAVOL® Gingembre de source naturelle, qui s’utilisent sans eau (pratiiiiiiiiique!) et dont le goût est agréable. Elles procurent un soulagement efficace rapidement (on ne demande que ça!) et sont sans somnolence (pratique pour le chauffeur!). Toute la famille peut les utiliser, dès l’âge de six ans!
Puis, il existe aussi les jeux qui divertissent les enfants et qui laissent les parents se débrouiller avec la carte routière ou le GPS...
Pour participer au concours Gravol, rien de plus facile, on veut lire vos pires souvenirs de vacances (sur la route ou non!). Envoyez-nous une péripétie familiale mémorable ET vos coordonnées complètes par courriel avant le 24 juin à 23h59 et courez la chande de gagner l'un des TROIS duos de glacière (34 litres) et cruche (1,9 litre) Coleman, juste à temps pour vos pique-niques estivaux!
Les gagnantes seront annoncées le matin du 25 juin sur le blogue.
lundi 18 juin 2012
Enseigner la base... et un peu plus!
On doit tout apprendre à un enfant: de l'habillage à la politesse, de l'hygiène aux bonnes manières. Vient un moment, comme à peu près maintenant -alors que les miens ont exactement 9 ans moins 1 jour- où tu te dis que que tu peux enfin respirer. La base des «choses de la vie» est apprise, l'autonomie est en voie d'être consacrée.
Puis, un matin, tu t'entends dire sur un ton ultra sérieux:
- Essaie de ne pas éternuer dans le réfrigérateur!
Ah! Tiens donc! J'y avais pas pensé à celle-là!
Et tu réfléchis alors à toutes les notions un peu plus poussées de la vie que tu as dû énoncer récemment...
- Fais pas des bulles avec une paille dans ta soupe
- On ne parle pas la bouche pleine de jus!
- On ne fais pas du «shuffleling» -vocabulaire de LMFAO pour décrire un move de danse dont l'orthographe m'est inconnue- en sortant de la douche devant ses soeurs avant de mettre son boxer!!!!
- Mets pas ton doigt dans ton nez pour le sentir après avoir touché ta noune!!!!
... et tu te dis que non, ce n'est pas fini!
Puis, un matin, tu t'entends dire sur un ton ultra sérieux:
- Essaie de ne pas éternuer dans le réfrigérateur!
Ah! Tiens donc! J'y avais pas pensé à celle-là!
Et tu réfléchis alors à toutes les notions un peu plus poussées de la vie que tu as dû énoncer récemment...
- Fais pas des bulles avec une paille dans ta soupe
- On ne parle pas la bouche pleine de jus!
- On ne fais pas du «shuffleling» -vocabulaire de LMFAO pour décrire un move de danse dont l'orthographe m'est inconnue- en sortant de la douche devant ses soeurs avant de mettre son boxer!!!!
- Mets pas ton doigt dans ton nez pour le sentir après avoir touché ta noune!!!!
... et tu te dis que non, ce n'est pas fini!
Libellés :
Conversations inutiles,
Petits (z)imparfaits
vendredi 15 juin 2012
Cultiver la peur
J'ai déjà entendu dire qu'avec l'accouchement venait aussi à nous... la peur!
On a peur de ne pas être une bonne mère.
On a peur de ne pas en faire assez.
On a peur de ne pas faire la bonne chose.
On a peur d'en faire trop.
On a peur qu'il arrive quelque chose à notre enfant.
Cette dernière peur est universelle à tous les parents, je crois. On a peur pour nos enfants. Peur qu'ils tombent, qu'ils se fassent mal, qu'ils n'aient pas d'amis, qu'ils aient de bons amis, qu'ils soient malades, qu'ils soient tristes, qu'ils se fassent attaquer/taxer/kidnapper/niaiser/etc.
On a peur tout le temps.
Une de nos premières jobs comme parents: stopper cette peur. Avoir confiance. Les laisser aller. C'est tellement difficile en même temps. Par exemple, une journée de sorties scolaires, par exemple, au Fort Chambly, on les laisse aller. On leur dit «au revoir» en leur énumérant tout le fun qu'ils auront. Mais toute la journée, on se surprend à tendre l'oreille si on entent dans une même phrase au bulletin d'infos à la radio "accident" et "autobus scolaire". On frémit. J'y pense avant même d'entendre le bulletin d'infos.
Au parc, quand JeuneHomme grimpe derrière sa soeur dans les modules faits de cordes, s'imaginant SpiderMan, je respire de travers. Puis, il m'envoie la main du haut et... je respire toujours aussi mal en essayant de sourire. MissLulus, envers et contre tous, est une championne de l'escalade. Agile comme dix, elle n'a peur d'aucune structure. Des sensations extrêmes: pas de problème. Moi au sol, tout en criant des encouragements je m'automutile en serrant mes ongles dans le creux de ma main. Je suffoque, j'ai chaud, je tremble, tout en étant méga fière d'elle et en ne lui montrant rien de cela!
Les enfants ne connaissent la peur que si on leur enseigne. Je suis consciente qu'il y a des peurs nécessaires. Ça ressemble plus à de la prudence, comme la sécurité routière et des règles comme ne jamais suivre un étranger. Mais les autres peurs, surtout celles dont on n'a aucune emprise, je ne veux pas les voir s'infiltrer en eux (Excellent texte ici sur la peur qui ne rend pas plus prudent!) Je souhaite aussi que mes enfants aient confiance en eux à tel point qu'ils essaient des choses et qu'ils ne se contentent pas de rester dans leur zone de confort. Et peu importe ma peur à moi. Je n'ai pas le droit de les empêcher d'essayer, même au risque de se tromper. MissLulus a voulu essayer Le Monstre l'an passé à La Ronde. Elle l'a fait. Je l'ai accompagné. Résultat: elle a eu peur, c'est vrai. Mais elle n'a pas eu peur de le faire. C'est la différence.
Reste que vivre avec la peur n'est pas un apprentissage facile. Mais c'est un bagage que je ne veux pas leur transmettre. Je vais le garder pour moi.
On a peur de ne pas être une bonne mère.
On a peur de ne pas en faire assez.
On a peur de ne pas faire la bonne chose.
On a peur d'en faire trop.
On a peur qu'il arrive quelque chose à notre enfant.
Cette dernière peur est universelle à tous les parents, je crois. On a peur pour nos enfants. Peur qu'ils tombent, qu'ils se fassent mal, qu'ils n'aient pas d'amis, qu'ils aient de bons amis, qu'ils soient malades, qu'ils soient tristes, qu'ils se fassent attaquer/taxer/kidnapper/niaiser/etc.
On a peur tout le temps.
Une de nos premières jobs comme parents: stopper cette peur. Avoir confiance. Les laisser aller. C'est tellement difficile en même temps. Par exemple, une journée de sorties scolaires, par exemple, au Fort Chambly, on les laisse aller. On leur dit «au revoir» en leur énumérant tout le fun qu'ils auront. Mais toute la journée, on se surprend à tendre l'oreille si on entent dans une même phrase au bulletin d'infos à la radio "accident" et "autobus scolaire". On frémit. J'y pense avant même d'entendre le bulletin d'infos.
Au parc, quand JeuneHomme grimpe derrière sa soeur dans les modules faits de cordes, s'imaginant SpiderMan, je respire de travers. Puis, il m'envoie la main du haut et... je respire toujours aussi mal en essayant de sourire. MissLulus, envers et contre tous, est une championne de l'escalade. Agile comme dix, elle n'a peur d'aucune structure. Des sensations extrêmes: pas de problème. Moi au sol, tout en criant des encouragements je m'automutile en serrant mes ongles dans le creux de ma main. Je suffoque, j'ai chaud, je tremble, tout en étant méga fière d'elle et en ne lui montrant rien de cela!
Les enfants ne connaissent la peur que si on leur enseigne. Je suis consciente qu'il y a des peurs nécessaires. Ça ressemble plus à de la prudence, comme la sécurité routière et des règles comme ne jamais suivre un étranger. Mais les autres peurs, surtout celles dont on n'a aucune emprise, je ne veux pas les voir s'infiltrer en eux (Excellent texte ici sur la peur qui ne rend pas plus prudent!) Je souhaite aussi que mes enfants aient confiance en eux à tel point qu'ils essaient des choses et qu'ils ne se contentent pas de rester dans leur zone de confort. Et peu importe ma peur à moi. Je n'ai pas le droit de les empêcher d'essayer, même au risque de se tromper. MissLulus a voulu essayer Le Monstre l'an passé à La Ronde. Elle l'a fait. Je l'ai accompagné. Résultat: elle a eu peur, c'est vrai. Mais elle n'a pas eu peur de le faire. C'est la différence.
Reste que vivre avec la peur n'est pas un apprentissage facile. Mais c'est un bagage que je ne veux pas leur transmettre. Je vais le garder pour moi.
Libellés :
Enjeux maternels,
Guide des compétences parentales
mercredi 13 juin 2012
Il est des nôôôtres!
Après les manifestants poivrés et les corps démembrés, ça fait du bien de tomber sur une nouvelle comme celle-ci:
Scandale au Royaume-Uni! (et ce n'est pas les millions dépensés pour le jubilé de la reine): le premier ministre David Cameron a oublié sa fillette de 8 ans dans un pub. Oh que oui! Faut le faire quand même, étant donné la fonction et le nombre de personne qui doivent graviter autour de lui!
Bon, à sa décharge, il y a l'excuse des «deux voitures»: «Le Premier ministre était rentré chez lui avec ses gardes du corps dans une voiture différente de celle de sa femme, pensant que Nancy était avec son épouse. De son côté, Samantha Cameron a cru que la fillette était avec son père. Mais une fois à la maison, les Cameron se sont aperçus que Nancy n'était pas avec eux.»
Iiiiiii, plus (z)imparfaits que ça...
C'est l'une de nos phobies de parent que d'oublier un enfant quelque part. Chez nous avec les triplés, le décompte est vite devenu une seconde nature. TriplePapa ne démarrait jamais la voiture avant de partir pour la garderie sans avoir jeté un oeil dans le rétroviseur et prononcé son désormais classique: «1-2-3, ils sont là!» Surtout que c'était à l'époque où un père avait fait les manchettes pour avoir oublié son bébé toute une journée dans sa voiture (avec le dénouement tragique qu'on connaît). Quand les heures de sommeil se comptent sur les doigts d'une main, la distraction n'est jamais loin... Et je peux compter jusqu'à trois 10 fois par après-midi dans la piscine (il en manque toujours un... qui refait surface quand mon coeur commence à faire de l'arythmie).
Touchons du bois, on n'a jamais oublié ni perdu un enfant. Mais j'imagine l'affolement qui doit s'emparer de nous quand ça se produit.
Des angoisses ou (mauvais) souvenirs à partager?
Scandale au Royaume-Uni! (et ce n'est pas les millions dépensés pour le jubilé de la reine): le premier ministre David Cameron a oublié sa fillette de 8 ans dans un pub. Oh que oui! Faut le faire quand même, étant donné la fonction et le nombre de personne qui doivent graviter autour de lui!
Bon, à sa décharge, il y a l'excuse des «deux voitures»: «Le Premier ministre était rentré chez lui avec ses gardes du corps dans une voiture différente de celle de sa femme, pensant que Nancy était avec son épouse. De son côté, Samantha Cameron a cru que la fillette était avec son père. Mais une fois à la maison, les Cameron se sont aperçus que Nancy n'était pas avec eux.»
Iiiiiii, plus (z)imparfaits que ça...
C'est l'une de nos phobies de parent que d'oublier un enfant quelque part. Chez nous avec les triplés, le décompte est vite devenu une seconde nature. TriplePapa ne démarrait jamais la voiture avant de partir pour la garderie sans avoir jeté un oeil dans le rétroviseur et prononcé son désormais classique: «1-2-3, ils sont là!» Surtout que c'était à l'époque où un père avait fait les manchettes pour avoir oublié son bébé toute une journée dans sa voiture (avec le dénouement tragique qu'on connaît). Quand les heures de sommeil se comptent sur les doigts d'une main, la distraction n'est jamais loin... Et je peux compter jusqu'à trois 10 fois par après-midi dans la piscine (il en manque toujours un... qui refait surface quand mon coeur commence à faire de l'arythmie).
Touchons du bois, on n'a jamais oublié ni perdu un enfant. Mais j'imagine l'affolement qui doit s'emparer de nous quand ça se produit.
Des angoisses ou (mauvais) souvenirs à partager?
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lundi 11 juin 2012
Les métiers sans pitié
En juin, le module dans la classe de ma fille était «Les métiers». Franchement très chouette façon de terminer l'année; ils découvrent différents métiers et professions. Plusieurs parents sont allés dans la classe pour parler de ce qu'ils font comme boulot. On en est venu à une discussion sur les métiers que j'aurais aimé faire, ceux que MissLulus aimeraient faire, etc.
Je ne sais pas vous, mais des fois ces discussions m'amènent à réfléchir une fois MissLulus repartie jouer aux espions ou à autre chose. Avec les métiers que je ne voudrais pas faire (genre dentiste: ouachhhh me mettre le nez dans les bouches des gens!) et ceux que j'aurais peut-être aimé, il y a eu une liste un peu plus (Z)imparfaite qui s'est fait dans ma tête. Celles des métiers (et donc des personnes) qui ne m'inspirent aucune confiance. Des métiers avec lesquels j'ai de la misère car je me méfie (vous savez quand nos antennes se mettent à marcher!).
Des exemples?
- Vendeur de meubles dans un gros gros magasin de meubles. Le genre où tu cherches un matelas et qu'ils te disent que si tu achètes en 288 versements, tu peux avoir un bel ensemble de coutellerie chic (qui utilise cela???) gratisssss. Le genre de vendeur trop motivé qui essaie de me vendre une frigo en me montrant comment ses tablettes sont belles. (Hey! Je ne les vois pas une fois remplies et qui a du temps pour examiner la beauté de son frigo?)
- Vendeur d'auto. (je sais, j'ai un problème avec les vendeurs, je pense!). «On signes-tu ce soir?» Heyyy! Ça me prend une tournée de 5 magasins pour choisir LA bonne paire de jeans que j'aime, je ne choisirai pas un char sur un coup de tête, dans le premier concessionnaire!! Et s'il rajoute un «ma p'tite madame», il est mort.
- Infirmière dans un CLSC en clinique d'allaitement. J'ai malheureusement beaucoup de mauvais souvenirs d'une rencontre culpabilisante qui aurait pu me rendre bien malheureuse... Par chance que toutes les autres infirmières rencontrées m'ont réconciliée avec leur profession qui exige tant de dévouement. Mais j'avais que lorsque j'entends "infirmière de CLSC", j'ai un petit soubresaut.
- Maire, député, ministre, Premier ministre. Ça se passe de commentaires. Je ne comprends pas comment ils font pour croiser des miroirs et ne pas mourir de honte,bien trop souvent.
D'autres idées?
Je ne sais pas vous, mais des fois ces discussions m'amènent à réfléchir une fois MissLulus repartie jouer aux espions ou à autre chose. Avec les métiers que je ne voudrais pas faire (genre dentiste: ouachhhh me mettre le nez dans les bouches des gens!) et ceux que j'aurais peut-être aimé, il y a eu une liste un peu plus (Z)imparfaite qui s'est fait dans ma tête. Celles des métiers (et donc des personnes) qui ne m'inspirent aucune confiance. Des métiers avec lesquels j'ai de la misère car je me méfie (vous savez quand nos antennes se mettent à marcher!).
Des exemples?
- Vendeur de meubles dans un gros gros magasin de meubles. Le genre où tu cherches un matelas et qu'ils te disent que si tu achètes en 288 versements, tu peux avoir un bel ensemble de coutellerie chic (qui utilise cela???) gratisssss. Le genre de vendeur trop motivé qui essaie de me vendre une frigo en me montrant comment ses tablettes sont belles. (Hey! Je ne les vois pas une fois remplies et qui a du temps pour examiner la beauté de son frigo?)
- Vendeur d'auto. (je sais, j'ai un problème avec les vendeurs, je pense!). «On signes-tu ce soir?» Heyyy! Ça me prend une tournée de 5 magasins pour choisir LA bonne paire de jeans que j'aime, je ne choisirai pas un char sur un coup de tête, dans le premier concessionnaire!! Et s'il rajoute un «ma p'tite madame», il est mort.
- Infirmière dans un CLSC en clinique d'allaitement. J'ai malheureusement beaucoup de mauvais souvenirs d'une rencontre culpabilisante qui aurait pu me rendre bien malheureuse... Par chance que toutes les autres infirmières rencontrées m'ont réconciliée avec leur profession qui exige tant de dévouement. Mais j'avais que lorsque j'entends "infirmière de CLSC", j'ai un petit soubresaut.
- Maire, député, ministre, Premier ministre. Ça se passe de commentaires. Je ne comprends pas comment ils font pour croiser des miroirs et ne pas mourir de honte,
D'autres idées?
vendredi 8 juin 2012
L'homme parfait existe!
L'an dernier, un sondage nous avait permis de faire le profil de la femme la plus heureuse sur Terre (et elle nous avait bien agacée celle-là!)
Cette fois, un sondage trace le profil de l'homme parfait. Assez amusant!
D'abord, sachez que l'homme parfait existe (on n'en demandait pas tant!)
En bref, il aime la viande, il boit de la bière, il gagne 77 000$ par année, il conduit une Audi et il aime sa mère.
Jusqu'ici, ça vous allume?
Bof...?
Ok, on continue: il aime nager, faire du vélo et... sa famille est sa priorité numéro Un.
Ooohhh! Je sens que ça vient vous chercher un peu plus là... ;-)
Sérieusement, si nous les filles on se targue d'être imparfaites et fières de l'être, avouez qu'on en demande parfois un peu plus (trop) à nos chums.
Mais si vous aviez la chance de modifier un trait de la personnalité de votre chum avec un p'tit coup de baguette magique, vous changeriez quoi?
Je pars le bal. TriplePapa m'accote assez en terme d'imperfection alors j'ai l'embarras du choix mais... j'aimerais qu'il cuisine comme un pro -ou même qu'il cuisine tout court! (même pas besoin d'avoir la barbe de 2 jours d'un Louis-François Marcotte, j'suis pas regardante... ;-)
Et vous?
(sur la photo: Ryan Gosling, pas TriplePapa! hahaha)
Cette fois, un sondage trace le profil de l'homme parfait. Assez amusant!
D'abord, sachez que l'homme parfait existe (on n'en demandait pas tant!)
En bref, il aime la viande, il boit de la bière, il gagne 77 000$ par année, il conduit une Audi et il aime sa mère.
Jusqu'ici, ça vous allume?
Bof...?
Ok, on continue: il aime nager, faire du vélo et... sa famille est sa priorité numéro Un.
Ooohhh! Je sens que ça vient vous chercher un peu plus là... ;-)
Sérieusement, si nous les filles on se targue d'être imparfaites et fières de l'être, avouez qu'on en demande parfois un peu plus (trop) à nos chums.
Mais si vous aviez la chance de modifier un trait de la personnalité de votre chum avec un p'tit coup de baguette magique, vous changeriez quoi?
Je pars le bal. TriplePapa m'accote assez en terme d'imperfection alors j'ai l'embarras du choix mais... j'aimerais qu'il cuisine comme un pro -ou même qu'il cuisine tout court! (même pas besoin d'avoir la barbe de 2 jours d'un Louis-François Marcotte, j'suis pas regardante... ;-)
Et vous?
(sur la photo: Ryan Gosling, pas TriplePapa! hahaha)
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mercredi 6 juin 2012
Aimez-vous vos enfants?
Spontanément, notre réponse est «oui» et je vous crois.
Mais vous est-il déjà arrivé de vous demander comment vous leur exprimer cet amour? Un rituel de bisous, une chanson réconfort, un tour de vélo quand ça ne vous tentait pas vraiment, l'achat d'une bébelle, une récompense surprise, un "oui" inattendu à une de leur demande, etc. On aime de plusieurs façons. On les aime aussi en les réprimandant, en leur apprenant des choses, en les punissant même parfois, en les encadrant et en leur disant "non".
Dernièrement, j'ai vu des choses qui m'ont un peu bouleversée. En fait, je ne sais pas trop quoi en penser. D'un côté, j'ai vu des dizaines et des dizaines de parents accompagnés leurs enfants au spectacle de Star Académie. On s'entend, on y va d'abord pour nos enfants. «Vous voulez...», m'a dit quelqu'un en sachant qu'on allait au spectacle le weekend dernier et que j'essayerais d'acheter des billets pour Justin Bieber pour MissLulus (j'en n'ai pas eu!). C'est un beau moment à passer avec les enfants. Un beau souvenir. Pourquoi pas? Je vous entends aussi dire "Pas besoin que ce soit des trucs qui coûtent quelque chose!": c'est vrai! J'ai eu tout autant de plaisir à voir les yeux heureux de MissLulus partir faire du vélo dimanche matin avec mon Zamoureux. Faire plaisir aux enfants, c'est bien tant qu'on ne le fait pas totalement à reculons. Ça m'amène à ce que j'ai vu... Des parents qui semblent faire les choses à reculons. Un enfant de 12 ans qu'on amène au resto mais à qui on ne parle pas et à qui on laisse un ballon à l'hélium (et qui lui essaie d'attirer l'attention en "gossant" avec le ballon dans la face des serveurs et du monde autour!). Un enfant qui me dit «J'aimerais cela que tu sois ma mère...» dans une classe de maternelle. Une mère qui ne sourit jamais croisée plusieurs fois par semaine à l'école. Des fois, ça vient me chercher profondément. J'aurais le goût de savoir pourquoi ces parents ont eu des enfants. Pourquoi ils ne les aiment pas? Pourquoi ils les aiment mal? Peut-être que je me trompe, peut-être... En fait, je le souhaite, mais avouez qu'il y a des situations qui nous tordent le coeur. On a tous déjà été témoin.
Une chose est sûre quand je vois cela, je suis triste bien sûr. Mais ça me redonne une dose de "pep" pour aimer encore plus mes enfants et ceux qui m'entourent. Et cet été, j'ai envie de les aimer en disant davantage "oui" et en se permettant plus de folies au quotidien. Vous, comment voulez-vous aimer vos enfants?
Mais vous est-il déjà arrivé de vous demander comment vous leur exprimer cet amour? Un rituel de bisous, une chanson réconfort, un tour de vélo quand ça ne vous tentait pas vraiment, l'achat d'une bébelle, une récompense surprise, un "oui" inattendu à une de leur demande, etc. On aime de plusieurs façons. On les aime aussi en les réprimandant, en leur apprenant des choses, en les punissant même parfois, en les encadrant et en leur disant "non".
Dernièrement, j'ai vu des choses qui m'ont un peu bouleversée. En fait, je ne sais pas trop quoi en penser. D'un côté, j'ai vu des dizaines et des dizaines de parents accompagnés leurs enfants au spectacle de Star Académie. On s'entend, on y va d'abord pour nos enfants. «Vous voulez...», m'a dit quelqu'un en sachant qu'on allait au spectacle le weekend dernier et que j'essayerais d'acheter des billets pour Justin Bieber pour MissLulus (j'en n'ai pas eu!). C'est un beau moment à passer avec les enfants. Un beau souvenir. Pourquoi pas? Je vous entends aussi dire "Pas besoin que ce soit des trucs qui coûtent quelque chose!": c'est vrai! J'ai eu tout autant de plaisir à voir les yeux heureux de MissLulus partir faire du vélo dimanche matin avec mon Zamoureux. Faire plaisir aux enfants, c'est bien tant qu'on ne le fait pas totalement à reculons. Ça m'amène à ce que j'ai vu... Des parents qui semblent faire les choses à reculons. Un enfant de 12 ans qu'on amène au resto mais à qui on ne parle pas et à qui on laisse un ballon à l'hélium (et qui lui essaie d'attirer l'attention en "gossant" avec le ballon dans la face des serveurs et du monde autour!). Un enfant qui me dit «J'aimerais cela que tu sois ma mère...» dans une classe de maternelle. Une mère qui ne sourit jamais croisée plusieurs fois par semaine à l'école. Des fois, ça vient me chercher profondément. J'aurais le goût de savoir pourquoi ces parents ont eu des enfants. Pourquoi ils ne les aiment pas? Pourquoi ils les aiment mal? Peut-être que je me trompe, peut-être... En fait, je le souhaite, mais avouez qu'il y a des situations qui nous tordent le coeur. On a tous déjà été témoin.
Une chose est sûre quand je vois cela, je suis triste bien sûr. Mais ça me redonne une dose de "pep" pour aimer encore plus mes enfants et ceux qui m'entourent. Et cet été, j'ai envie de les aimer en disant davantage "oui" et en se permettant plus de folies au quotidien. Vous, comment voulez-vous aimer vos enfants?
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Angoisses maternelles,
Enjeux maternels
lundi 4 juin 2012
Avoir un bébé pour être... en congé?
Un sondage nous apprenait récemment que 50% des Britanniques (soit la moitié des 2000 femmes interrogées, il faut toujours se fier aux chiffres plus exacts...) souhaitent avoir un enfant pour prendre congé de leur boulot.
Eh bien! Je ne sais pas quel boulot elles font mais personnellement, je suis bien plus en «congé» au boulot que je ne l'ai été à la maison pendant mon «congé» de maternité!
Cette vision idéalisée sur congé de maternité me fait bien rire. Elle est partagée par bon nombre de collègues célibataires ou gais qui se plaignent parfois de cette grande injustice sociale: ils ne pourront jamais, eux, avoir droit à un «congé» payé d'un an!
Bien sûr, dans leur monde égalitaire, la variable «enfant» ne compte pas. C'est la variable «congé» qui les agace.
Mais, entre vous et moi, est-ce vraiment un congé? Et s'il y a 2 heures de repos dans une journée, ne compensent-elles pas pour les 3 heures de la nuit précédentes que vous avez passé bien éveillée avec un bébé gémissant dans les bras?
Les rares fois ou je me suis sentie en congé dans mon année de congé, c'est quand je partais me promener en plein jour avec les enfants en poussette (pour réussir à les faire dormir parce qu'à bout de solutions à la maison!). Je profitais de la vue sur le bord du fleuve, je m'attardais autour du Canal Lachine puis je remontais à la maison... où m'attendaient trois brassées de linge non plié et des quantités astronomiques de légumes qui ne demandaient qu'à être transformés en purée. Maudite belle journée de «congé»!
À celles qui sont en «congé» de maternité, je vous souhaite d'en profiter (un peu) avec l'été qui arrive!
Eh bien! Je ne sais pas quel boulot elles font mais personnellement, je suis bien plus en «congé» au boulot que je ne l'ai été à la maison pendant mon «congé» de maternité!
Cette vision idéalisée sur congé de maternité me fait bien rire. Elle est partagée par bon nombre de collègues célibataires ou gais qui se plaignent parfois de cette grande injustice sociale: ils ne pourront jamais, eux, avoir droit à un «congé» payé d'un an!
Bien sûr, dans leur monde égalitaire, la variable «enfant» ne compte pas. C'est la variable «congé» qui les agace.
Mais, entre vous et moi, est-ce vraiment un congé? Et s'il y a 2 heures de repos dans une journée, ne compensent-elles pas pour les 3 heures de la nuit précédentes que vous avez passé bien éveillée avec un bébé gémissant dans les bras?
Les rares fois ou je me suis sentie en congé dans mon année de congé, c'est quand je partais me promener en plein jour avec les enfants en poussette (pour réussir à les faire dormir parce qu'à bout de solutions à la maison!). Je profitais de la vue sur le bord du fleuve, je m'attardais autour du Canal Lachine puis je remontais à la maison... où m'attendaient trois brassées de linge non plié et des quantités astronomiques de légumes qui ne demandaient qu'à être transformés en purée. Maudite belle journée de «congé»!
À celles qui sont en «congé» de maternité, je vous souhaite d'en profiter (un peu) avec l'été qui arrive!
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Enjeux maternels,
Future maman (z)imparfaite,
N'importe quoi
Les gagnantes du concours Orajel
Voici les trois chanceuses qui se mériteront un sacs-cadeaux comprenant un assortiment de produits Orajel
y compris deux nouveaux produits: le nouveau remède homéopathique gel
de dentition Orajel Source naturelle et les nouveaux cotons-tiges de
dentition Orajel PréciDose), des dentifrices Orajel À MOI!, des
surprises pour les petits et un certificat-cadeau pour un spa (pour
maman!).
- Mélanie Drouin
- Marie-Claude Carrier
- Marie-Hélène Cusson
Félicitations et surveillez votre courrier!
- Mélanie Drouin
- Marie-Claude Carrier
- Marie-Hélène Cusson
Félicitations et surveillez votre courrier!
samedi 2 juin 2012
Rappel - Concours : Ça doit être les dents!
Dernière chance de vous inscrire au concours Orajel!
On vous rappelle que vous courez la chance de gagner l'un des trois sacs-cadeaux comprenant un assortiment de produits Orajel y compris deux nouveaux produits: le nouveau remède homéopathique gel de dentition Orajel Source naturelle et les nouveaux cotons-tiges de dentition Orajel PréciDose), des dentifrices Orajel À MOI!, des surprises pour les petits et un certificat-cadeau pour un spa (pour maman!).
Pour participer au concours, envoyez-nous votre nom et vos coordonnées par courriel et racontez-nous surtout la pire crise de votre enfant (causée ou non par les dents!) avant le 3 juin minuit.
Tirage le 4 juin au matin.
Libellés :
Concours,
Revenus pour versements hypothécaires
vendredi 1 juin 2012
Radotage maternel
Quand j'étais petite, je me disais que mes parents - et en particulier ma mère - me disait toujours la même chose. Vous savez ce genre de phrase. «Sois prudente», «As-tu fait tes devoirs?», «Es-tu encore au téléphone?», «Tu vas avoir froid!», etc.
Une maman blogueuse en a répertorié 50 avec ses frères et soeurs pour offrir ce cadeau plein d'humour à leur mère.
Au début, ça m'a fait rigolé. Mais, en y pensant bien, mes enfants doivent être eux-mêmes capables de relever des dizaines de phrases que je leur répète souvent. Tout le temps.
«Ramasse tes bébelles dans le salon!»
« Va prendre ton bain!»
«As-tu ta boîte à lunch?»
«Ferme ta bouche quand tu mâches!»
« Lâche ton nez! »
«Va te moucher!»
«As-tu envie?»
«Ferme la télé!»
«Arrête!»
«As-tu compris ce que je viens de te dire?»
«Moins fort!»
Finalement, j'aime mieux pas trop faire le décompte, car en notant ces phrases, je m'entends les dire. Et c'est insupportable. Oups... est-ce que dans 25 ans, je vais recevoir un cadre avec mes phrases mémorables? Peut-être...Et vous, sur votre futur cadeau, qu'est-ce que vos enfants auront écrit? Que leur répétez-vous souvent?
Une maman blogueuse en a répertorié 50 avec ses frères et soeurs pour offrir ce cadeau plein d'humour à leur mère.
Au début, ça m'a fait rigolé. Mais, en y pensant bien, mes enfants doivent être eux-mêmes capables de relever des dizaines de phrases que je leur répète souvent. Tout le temps.
«Ramasse tes bébelles dans le salon!»
« Va prendre ton bain!»
«As-tu ta boîte à lunch?»
«Ferme ta bouche quand tu mâches!»
« Lâche ton nez! »
«Va te moucher!»
«As-tu envie?»
«Ferme la télé!»
«Arrête!»
«As-tu compris ce que je viens de te dire?»
«Moins fort!»
Finalement, j'aime mieux pas trop faire le décompte, car en notant ces phrases, je m'entends les dire. Et c'est insupportable. Oups... est-ce que dans 25 ans, je vais recevoir un cadre avec mes phrases mémorables? Peut-être...Et vous, sur votre futur cadeau, qu'est-ce que vos enfants auront écrit? Que leur répétez-vous souvent?
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