Chaque jour amène donc son lot de conversations surréalistes comme celle qui suit :
- Non, Lolo demain, c’est congé.
«C’est lui demain, hein?», dit-il en montrant le calendrier judicieusement placé dans sa chambre.
- Oui, c’est lui.
«Mais c’est pas aujourd’hui?»
- Non, c’est demain. Aujourd’hui, ce n’est pas congé.
Le lendemain matin :
«Est-ce que demain c’est congé?»
- Non, demain ce n’est pas congé, c’est aujourd’hui que c’est congé.
«Non, c’est pas congé aujourd’hui. C’est demain que c’est congé!»
- Non Lolo, aujourd’hui c’est congé.
«Non, tu as dis que demain c’est congé!»
- Oui mais demain c’est aujourd’hui et aujourd’hui c’est congé, pas demain.
Et la conversation se poursuit sans fin jusqu’à ce - à boutte- je balance sèchement : «Oui, oui, c’est ça, c’est ça!»
Imaginez une semaine... (rappelez-vous, on est parti en vacances!)
3 commentaires:
Ouf... ça doit être un peu épuisant ça...
ouf... pas facile!
c'est trop drole! mon fils est pareil...
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