mercredi 30 juillet 2014

Les activités gratuites (et comment y survivre)

Chaque mercredi, nous partageons nos trucs (z)imparfaits pour (sur)vivre à un aspect de l'été. 
On vous invite à partager les vôtres, questions qu'on profite tous de la belle saison, malgré ses imperfections!

Cette semaine: les activités gratuites

Puisqu'en 2014, c'est mal de consommer, voilà des activités gratuites qui ne polluent pas (enfin, seulement si vous vous y rendez en BIXI). Mais qui dit activités gratuites, dit beaucoup de monde! C'est le piège de la gratuité. Alors, assumons notre cheapitude, mais prévoyons le coup pour rendre cette expérience moins traumatisante agréable.


1. Y aller tôt.
Statistiquement, la population des lève-tôt est moins grande. Aussi, votre réserve collective de patience est plus grande le matin.

2. Y aller sur l'heure du souper. 
Habituellement, les familles avec jeunes enfants (les possibles hurleurs!) ont déserté les lieux.

3. Apporter les gugusses fluo du Dollarama
Ah ha! Ça pourrait vous permettre de ne pas perdre progéniture dans une foule le soir. Utilisez des codes de couleurs combinées (votre fils est bleu et vert, votre fille est rose et orange) car il y en a qui porte la gugusse fluo pour le plaisir seulement. Pour ceux qui sont contre le Dollarama, optez pour la mouche à feu écrasée sur les avant-bras (mais ça tue des mouches à feu. Onnh.)


4. Choisir sa foule
Il y en a des plus civilisée que d'autres. Un concert dans un parc, c'est plus calme qu'un show à Heavy MTL, mettons!

4. Choisir son moment (et changer d'idée au besoin)
Ce n'est pas parce que vous avez planifié de faire votre sortie telle journée que vous ne pouvez pas changer d'idée. Si la perspective de passer 8 heures dehors quand le facteur humidex atteint le 44° ne vous enchante pas, passez votre tour. C'est pas plus grave que ça!

lundi 28 juillet 2014

Le moment présent (et la méthode «j'sais pas»)

Depuis quelques années, je m'efforce d'inculquer une notion (qui semble malheureusement en voie d'extinction) à mes enfants: le moment présent, cet espace-temps mal aimé situé entre l'avant et le tantôt.

«Ici, maintenant» est devenu un cheval de bataille parental chez nous, devant notre trio drillé à la garderie qui veut toujours savoir ce qui vient après.

Exemple trop souvent entendu chez nous et qu'on ne supporte plus:

- Les enfants, cet après-midi, on s'en va au cinéma.

- Yééé! On fait quoi après?

- (soupir intense)

La seule réponse valable que nous avons trouvé à cette question 100 fois posée dans une journée c'est: «j'sais pas» . On leur répond systématiquement ça chaque fois. Parce que de toute façon, on a beau s'être établit un plan de la journée, on sait pertinemment qu'on ne le respectera pas (fera plus beau, ça nous tentera plus, va y avoir trop de trafic, whatever).

Et grâce à notre méthode «j'sais pas», on a réussi a calmé le besoin vital de savoir l'ordre du jour de notre TED angoissé. Depuis que Lolo est petit (et diagnostiqué!), on nous a dit de faire des schémas, des diagrammes, des tableaux et des courbettes pour l'aider avec sa rigidité organisationnelle (fréquent chez les TED). Eh bien, sachez éminents spécialistes qu'il est moins angoissé en ne sachant pas ce qui s'en vient trop à l'avance (il n'a pas le temps de se le répéter et de le retourner 1000 fois dans sa tête et s'y perdre en deux angoisses) et que «j'sais pas» est une réponse suffisamment explicite pour être une case mentale où ranger son plan du jour... en attendant de connaître la suite.

Parce qu'en ne sachant pas ce qui vient après, pas le choix de le vivre le foutu moment présent! (c'est simple, hein?!)

Mais, bonne nouvelle, ce n'est pas que l'apanage des enfants «dompés à la garderie»! Grand nombre d'adultes sont atteints du même mal. Au show de Bruno Mars la semaine dernière, Momo me donne un coup de coude en me montrant avec sa face de préado découragée les gens qui descendent l'escalier pour quitter le spectacle... AVANT LA FIN de la dernière toune AVANT le rappel. «Eux autres, ile ne le vivent pas, hein, leur moment présent?!»

En effet, en quoi il est plus important de partir avant le rush (et avant le meilleur moment d'un show) quand tu t'es déplacé pour aller voir un spectacle? À quel point dois-tu partir dans les plus brefs délais? Qu'est-ce qui t'attend de si urgent? (sauver 10$ de gardienne?) Même chose à La Ronde, lors des feux d'artifices, ça se lève et ça quitte les estrades avant la finale. Euh... pourquoi? Prends ton temps, profite du privilège que tu as d'être là. Ici et maintenant. Tu vas arriver chez vous de toute façon.

P.S.: Je vous remercie les stressés qui donnez des leçons de vie à mes enfants au quotidien. Si une image vaut 1000 mots, une situation qui se passe sous leurs yeux en vaut 100 000.

mercredi 23 juillet 2014

Les gugusses du Dollarama qu'on aime

Chaque mercredi, nous partageons nos trucs (z)imparfaits pour (sur)vivre à un aspect de l'été. 
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Cette semaine: les gugusses du Dollarama

Le fondateur de Dollarama Larry Rossy n'a pas reçu la médaille de l'Ordre national du Québec en juin dernier pour rien: il a sauvé des milliers de parents grâce à ses bidules made in China. Voici nos préférés en diverses occasions:

1. Pour rester dehors tard: les gogosses fluo
Bracelets, épées, baguettes magiques, name it! Le choix est grand au royaume du glow in the dark!

2. Les cadeaux pour les amis
Qui ne remplit pas son sac de goodies chez Dollarama?

3. La récompense pas cher, pas cher
Quand tu leurs promets d'arrêter au Dollarama au retour d'une visite chez la parenté s'ils ont été sages, c'est une récompense par cher mais efficace!

4. Le bricolage
Y'a en masse de gugusses pour les amateurs de bricolage. Pas besoin de payer plus cher, ça se retrouvera à la récup dans 5 jours de toute façon!

5. La vaisselle jetable
Pour les jours (nombreux en été) où ça ne nous tente tout simplement pas de faire la vaisselle!

6. Les lingettes pour nettoyer les lunettes
Les lunettes des enfants sont toujours (ultra) sales! Étonnant qu'ils réussissent même à voir au travers. Mettez la main sur les lingettes déjà humidifiés de produit nettoyant pour un lavage rapide et efficace. À trimballer partout!


7. Des trucs de cuisine.
Une louche de plus, des cuillères en bois, des pinces, un pilon, une planche à découper, une passoire, etc. On finit toujours par en avoir besoin (ça nous évite de laver compulsivement!) ou sinon ça devient de bons instruments de musique pour les enfants ou des jouets "intéressants" pour qu'ils s'amusent dans le sable.

8. Du papier alu
En ces temps de papilotte sur le BBQ, pourquoi payer plus cher? E il existe même du papier alu pré-coupé: fini les batailles avec le rouleau (et les gaffes quand on l'échappe par terre et qu'il se déroule en entier!).

9. Bacs à bébelle
Quand nous pogne l'envie de classer et de ranger, on s'approvisionne au Dollo. Ça nous arrive pas souvent, mais quand même...

10.  Matériel pour nettoyer
Du savon à cuvette, une laine à récurer, des éponges, un balais: on ne veut pas payer cher pour ça!  Le Dollo, c'est la place!

Et vous, quelles sont vos gugusses préférées?

lundi 21 juillet 2014

Le bonheur avec les pré-ados, c'est...

Depuis que vos enfants sont nés, tout votre environnement a changé? Votre décor leur est désormais consacré? Vous avez peine à vous trouver un espace tranquille pour lire, relaxer, faire un somme éclair de 15 minutes?

Patience. Un jour, ils auront 10 ans, 11 ans, 12 ans et un jour vous n'aurez qu'à faire un geste pour vous réapproprier votre espace: vous approcher d'eux.

Car oui, c'est ma plus grande découverte cet été: l'adulte est un répulsif à pré-ados*. Il suffit de vous approcher d'eux et ils s'éloignent comme par magie!

Ils sont sur la terrasse? Installez-vous confortablement dans la chaise longue à leurs côtés et voyez-les prendre la fuite! Profitez ensuite du silence qui vous entoure et de l'espace vital retrouvé après tant d'années!

* Fonctionne encore mieux si les pré-ados sont avec des amis pré-ados ET si vous vous approchez d'eux en lançant une blague douteuse (aussi appelée "commentaire tellemeeent trop gênaaant" dans le langage pré-ados).

mercredi 16 juillet 2014

Les drinks de l'été


!

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Cette semaine: les drinks

Parce qu'on ne peut survivre à l'été sans un nouveau drink par semaine, voici des idées pour faire changement du gin tonic et des mojitos (tchin!):

1. La limonade d'adulte 
Mettez un fond de vodka dans une Limonata San Pellegrino, quelques glaçons et hop! En fait, n'importe quel drink a l'air "plus hot" si vous le servez dans un pot Mason. Rajoutez une branche de romarin (avant qu'il ne flétrisse dans votre jardinière parce que vous oubliez toujours de l'arroser!) et faites flotter 4-5 bleuets congelés et vous avez un drink de compétition!

2. Le martini aux concombres
Parce que c'est rafraîchissant et -en plus- ça vous fait une portion de légumes!

3. Le melon d'eau à la vodka
Faites des boules de melon d'eau et déposez-les dans un plat peu profond (genre pyrex!). Versez ensuite de la vodka (au goût!) par dessus et mettez le plat au congélateur pour une heure ou deux. Trimballez ensuite en pique-nique (en mettant une étiquette «Melon pour adultes») ou rajoutez les boules dans une limonade-vodka.

Il existe aussi la méthode plus-que-(Z)imparfaites:

N.B.: Achetez des Advils au Costco!

4. Les «shooters» citronnés
Avouez que la présentation est cool et qu'elle n'est pas trop compliquée à faire. Pour vider le demi-citron, utilisez une cuillère à pamplemousse (ah! ha!) ou vos doigts (encore mieux!). Gardez le tout, rajoutez un peu de jus de citron au besoin et rajoutez la même quantité de vodka. Dans les demi-citrons, saupoudrez une cuillérée de sucre dans chacun (environ). Ensuite, versez le jus alcoolisé dans chaque verre-en-citron. Tadam! Même pas de vaisselle!

Merci Nellie Bellie

5. Les popsicles au vin
LA découverte de l'été! Suivez la recette (et les proportions, même si une tasse, ça parait bien peu!) et vous serez tentés de débuter chaque fin de journée par un petit pops au rosé.

Quels sont vos drinks préférés? Partagez vos recettes!

lundi 14 juillet 2014

A-t-on peur de notre image?

La semaine passée, Facebook a été envahi de textes et de photos prônant le fait que les femmes ne devraient être gênées de porter le bikini. Celui que j'ai le plus aimé: celui de Jenny Trout qui a répondu à ses amis qui lui demandaient ce qu'elle allait faire - sous-entendre ici quel "régime" - pour porter un bikini cet été. Sa réponse a été parfaite: «J'ai dit que j'allais porter un bikini, pas que j'allais perdre du poids.» Et vlan!

Le lendemain, ce fut au tour de Jessica N. Turner de dire aux mamans d'enfiler leur maillot - bikini ou non - et d'aller s'amuser avec ses enfants dans l'eau au lieu de poireauter sur le bord de la piscine.

Tout ça va encore plus loin.

Combien de fois s'empêche-t-on de faire des choses par peur d'avoir l'air folle? Par peur de l'image qu'on projette? Par peur que les autres nous jugent? Par peur que les autres nous regardent, tout simplement?

On ne fait pas le parcours d'arbre en arbre parce qu'on craint que les autres voient nos grosses fesses prises dans les sangles. On ne va pas dans le carrousel parce que c'est trop quétaine. On s'exclame «Non, non! Pas de photos! Je suis toute décoiffée!» alors qu'on a passé une journée à la plage. On ne va pas se balancer au parc parce qu'il y a d'autres adultes présents. On refuse un cornet à la crèmerie parce qu'on veut montrer qu'on tient notre ligne. Et la liste n'en finit plus.

Vraiment?

J'ai envie de crier «Ouin, pis?».

On ne va pas commencer à se refuser des plaisirs alors que la vie se charge bien assez d'elle-même de nous envoyer des coups durs.

Depuis quelques années, et probablement surtout depuis que j'ai des enfants, j'avoue être capable de me foutre pas mal de ce que les autres pensent. Ils me regardent? Eh ben! Ça ne me dérange pas. Je suis en train de créer des souvenirs avec mes enfants. Alors, je ne laisserai certainement pas un ventre, une mèche de travers, une fesse dodue, un jugement des autres ou quoique ce soit s'interposer entre le plaisir, mes enfants et moi.

Si ça dérange les autres, qu'ils détournent le regard. Ils peuvent même passer des commentaires, ça m'est égal. Moi, je garde les yeux bien ouverts, prête à capturer tous ces souvenirs qui seront si précieux demain.

mercredi 9 juillet 2014

À la plage, version (Z)

Chaque mercredi, nous partageons nos trucs (z)imparfaits pour (sur)vivre à un aspect de l'été. 
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Cette semaine: la plage

Les (Z) adoooorent la plage! Mais pour pouvoir se reposer, lire un chapitre (sans relire sans cesse les mêmes phrases et recommencer encore du début) et vivre au moins 10 minutes consécutives de farniente entre 2 châteaux de sable et 3 séances de ramassage de coquillages, voici nos trucs:

1. Le rosé
Il ne faut JAMAIS partir à la plage sans avoir rempli une (ou deux) bouteilles d'eau en alu de rosé. C'est la clé pour être zen (et plus reposée) dans ce lieu magique.

2. Des bébelles en masse
Le tout, dans un sac en filet pas trop gros qu'ils pourront traîner eux-mêmes jusqu'à la plage (vous en avez déjà plein les bras avec le cooler, vos magazines et le litre de crème solaire!).

3. Des amis
Choisissez les moins énervés (et énervants) mais assurez-vous d'avoir au moins un partenaire de jeu pour votre enfant (ce qui veut dire que ça n'aura pas besoin d'être vous).

4. Leur musique...
... et des écouteurs. On leur apprend le bonheur de ne rien faire d'autre qu'écouter leur musique en regardant la mer. C'est un apprentissage important dans leur développement d'une carapace anti-«J'ai-besoin-de-faire-quelque-chose-à-tout-prix».

5. Des collations!
Ils ont toujours faim, alors pour éviter de faire mille et un aller-retour au cooler laissé dans l'auto pour sustenter chacun de leur petit creux, on trimballe tout un attirail de collations qui se mange même assaisonnés de sable (et tant pis pour le Guide alimentaire canadien! On n'a plus à se plier aux règles de l'école!): chip, bretzel, p'tits poissons (c'est fou comme ça pogne encore à 11 ans!), pattes d'ours (les éternelles!), etc. On peut aussi préparer (ou leur laisser préparer) des boîtes de collation comme celle-ci (une chacune pour le moins de risques de chicanes possibles!):


D'autres idées à partager?


lundi 7 juillet 2014

Un ado tout neuf

Eh oui!  On avait bien vu quelques changements chez notre enfant, mais sans en faire trop de cas. Puis: BANG! Il est devenu un adolescent.

Je peux dire sans l'ombre d'un doute que c'est ce qui m'est arrivé durant la dernière année scolaire. Ah non! Je viens de faire une erreur. Ce fait ne «M'est» pas arrivé. Il est arrivé à ELLE. Ça lui est arrivé, à MissPuDeLulus.

Si je fais cette distinction, c'est que j'essaie vraiment de lâcher prise. Mais celles qui vivent avec un ado savent combien ce n'est pas facile. On reçoit les contre-coups de sa mauvaise humeur (perpétuelle), son manque d'énergie, sa lâcheté pour les tâches "donc plaaates" (HEY! Moi non plus, je ne trippe pas à faire la vaisselle, imagine-toi donc!), son débordement d'énergie quand ses amis viennent la chercher pour une promenade à pied dans le quartier, son manque d'entrain quand on fait une sortie (faudrait pas qu'il ait l'air d'avoir trop de fun!) et sa grande capacité à ne pas écouter/entendre/réagir («Hein? Quoi? Je n'ai pas entendu? Oui, oui, je vais le faire tantôt, là!» = pucapable).

Des fois, je me dis que je n'ai pas traversé toutes les crises, les pleurs, les apprentissages de base (marcher, pipi dans le pot, devoir!) et les chignages pour en arriver là... C'est passager? Je sais. C'est hormonalement normal? Peut-être. Je suis passée par là? Bien sûr! Mais tout ça me gruge les nerfs quand même! C'est plus fort que moi.

Alors, après réflexion, nombreux chialages et incalculables pétages de coche: j'ai décidé de me tenir "un pied à côté". Pas vraiment loin. Malheureusement, ce n'est pas parce que "c'est un ado" que je vais lâcher prise sur les bases déjà acquises (mais souvent oubliées par les ados). Pas question de fermer les yeux sur l'impertinence, le manque de respect et le travail mal fait. Mais, en me tenant un pied à côté, je ne me sens plus happée (tsé quand le nerf du cou tressaille et que ça te chauffe sous la peau!) par les mauvais comportements. Je les nomme, mais ils me m'appartiennent plus. Ils sont les siens. Tant pis! Toutefois, ça implique bien des trucs et ça a des conséquences. Je les ai dit et redit mille fois. Si la parole n'a pas d'effet, la réalité peut s'en charger. Ça se peut que je n'ai pas le goût non plus de voir sa mauvaise humeur au réveil (donc reste dans ta chambre!), ça se peut que je lui dise «non» pour un deuxième film avant de se coucher, ça se peut qu'on sorte au restaurant sans elle si j'ai subi sa mauvaise humeur a plané dans la maison toute la journée, etc. Je ne lâcherai pas prise sur ce qui est important pour moi, mais je ne subira pas les conséquences non plus. Je ne ferai pas le clown pour l'amuser, ni la police pour la surveiller: j'ose espérer à une prise en charge d'elle-même. Peut-être que je rêve trop... Peut-être, je ne sais pas. Mais il me semble que leur offrir la chance d'être de plus en plus autonome est la plus belle des libertés et celle qui offre le plus grand éventail de possibilités. 

Depuis quelques jours, cette technique m'évite de pogner les nerfs perpétuellement (pas du tout envie de passer mon été ainsi!). Et j'ai aussi trouvé la méthode de la liste plutôt intéressante. Chaque jour, puisque la mémoire des ados semble être défaillante, je dresse une liste (parfois en version papier, mais aussi envoyée par texto... Un jour, MissPuDeLulus finira bien par les faire d'elle-même sur son iPod!). Tout ce qui est dessus doit être accompli. Je communique aussi par texto pour rajouter des trucs sur la liste. Impossible de dire «Je ne le savais pas!»: elle a son iPod toujours avec elle.

Finalement, je pense bien mettre la main sur le livre Have a New Teenager by Friday. Au cas où ça marcherait... Sinon, il restera toujours le rosé bien frais pour les soirs où je serai trop découragée.

Et vous, qu'avez-vous comme trucs quand votre ado (ou enfant, il n'y a pas d'âge!) vous met à boutte?

vendredi 4 juillet 2014

Des fois, «c'est ça qui est ça»!

 Cet été, les (Z) se mettent en mode «relax», alors le vendredi, on vous présentera des photos qui nous ont fait sourire. N'hésitez pas à nous en envoyer. 
 
 
 

mercredi 2 juillet 2014

Ayoye! Un coup de soleil!

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Cette semaine: les coups de soleil

Parce qu'il nous arrive au moins une fois par été de rater notre coup (pas autant que ces personnes quand même!) quand vient le temps d'appliquer leur trait de crème solaire sur les épaules (ou parce qu'ils sont rendus grands et veulent le faire tout seuls mais oublient quelques coins stratégiques), voici nos trucs pour soulager les coups de soleil:

1. Le gel d'aloès. La texture est assez collante (on a toujours peur de s'être mêlée avec le pot de gel pour les cheveux!), mais c'est ultra efficace! Pour un effet encore plus rafraîchissant, on prépare des cubes glacées de gel. Eh oui, ressortez votre moule à glaçons utilisé pour les purées et versez-y du gel. Démoulez et gardez dans un Ziploc!

2. Le bon vieux Solarcaine ou la base Glaxale... On en a toujours dans nos valises...

3. Du vinaigre. Ça pue, mais ça fait sortir la chaleur! Préparez un mélange d'eau et de vinaigre dans un contenant avec vaporisateur et le tour est joué. Sinon, imbibez des morceaux de papier essuie-tout d'eau et de vinaigre et déposez-les sur les zones touchées (chic!). Autrement, versez un ou deux bouchons de vinaigre dans votre bain pour continuer à calmer les douleurs.

4. De la mayo. L'effet de la mayo serait apaisant pour les coups de soleil. Mais cette alternative pourrait vous enlever le goût à tout jamais de manger des sandwichs. Si ça vous écoeure, vous pouvez utiliser du yogourt ou simplement du lait.

5. Des concombres en tranche. Un coup de soleil en pique-nique ou à la plage? Mettez la main sur votre sac de tranches de concombre et éparpillez-les sur votre coup de soleil!

6. Des serviettes humides! On le savait donc que ça pouvait encore être pratique même si les enfants sont rendus grands!


Quels sont les vôtres? Partagez!